vendredi 17 janvier 2014
Changement à la tête du haut commandement du Nigeria
lundi 14 février 2011

Défense nationale: Le Général Adoum Ngaré Hassan à la tête de l’Armée de Terre
Le Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre, le Général de Division Taher Erda a passé l’étendard ce lundi 14 février 2011, à son successeur le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan. Cette cérémonie a eu lieu dans l’enceinte du Camp de 27 en présence du Chef d’Etat Major Général des Armées 1er adjoint Ahmat Youssouf Mahamat Itno.
Le Chef d’Etat Major des Armées de Terre sortant, le Général de Division Taher Erda a rappelé que les quatre mois passés à la tête de l’Etat Major lui ont permis de mieux connaître ce grand service. «Je n’ai rien d’autre à offrir sinon ma disponibilité et mon engagement à œuvrer de toutes les forces qui me restent pour la réalisation des nobles idéaux du gouvernement et surtout pour la réussite du programme politique du Chef de l’Etat », a-t-il ajouté.
Le Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre entrant, le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan a tenu à remercier le Chef de l’Etat Idriss Deby Itno pour la confiance placée en lui en le nommant à la tête de l’Armée de Terre. Aussi, il promet de ne ménager aucun effort pour mériter cette confiance tout en sachant l’immense tache qui l’attend. Pour ce faire, il demande le concours de tout un chacun pour relever tous les défis.
En installant le nouveau CEMAT, le CEMGA 1er adjoint le Général de Division Ahmat Youssouf Mahamat Itno appelle les hommes de rang, les sous officiers et officiers à reconnaître désormais le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan comme leur chef.
Ngartoidé Hugo

vendredi 4 février 2011

Vendredi 4 février 2011
Les militaires faiseurs de démocratie, c’est sans conteste ce qui est à la mode actuellement en Afrique. Le dernier cas en date est celui de l’Egypte où l’armée, contrairement à ce qu’on connaît d’elle, a décidé de reconnaître la lutte des Egyptiens mais se refuse à faire un coup de force. A la limite, elle est aujourd’hui, et sera sans doute demain la garante de la démocratie dans ce pays arabe sur lequel Hosni Moubarak a régné plus de trente ans durant.
Plus proche de nous, au Niger, il a fallu que le Général Salou Djibo et ses hommes mettent fin à la dérive de Tandja Mamadou pour qu’enfin le pays revienne sur le chemin de la démocratie. Il a fallu en plus que ce pouvoir militaire, dont l’avènement a été salué par certains démocrates, soit suffisamment fort et engagé pour mener à bien le processus de démocratisation. Puisqu’il a fallu être ferme pour que l’élection soit engagée. Car à la dernière minute, certains d’entre eux, en tout cas la grande majorité voulaient qu’on remette à plus tard la présidentielle.
Le seul argument qu’ils ont avancé est qu’ils ne sont pas prêts. Alors qu’ils ont été associés depuis le début du début du processus à l’élection présidentielle. Mieux, juste après le coup d’Etat, ils étaient les premiers à réclamer des élections dans les meilleurs délais. D’ailleurs, ils n’avaient pas suffisamment confiance à la parole de la junte. Et pourtant, les militaires étaient très au sérieux. Ils viennent de le démontrer en organisant une élection à laquelle aucun d’eux n’est candidat. Il reste donc aux politiciens qui sont payés pour cela de faire leur travail. Et bien pour le peuple nigérien.
Avant Salou Djibo, c’est un autre Général au bord du Fouta Djallon, Sékouba Konaté qu’il s’appelle qui, après avoir hérité d’un pouvoir dans des conditions très difficiles, a réussi dans les mêmes conditions à doter son pays la Guinée Conakry d’un processus électoral qui est allé jusqu’à son terme. Avec l’élection d’Alpha Condé comme président de la République.
Avant ces deux chefs d’Etat et le cas égyptien, c’est Amadou Toumani Touré au Mali qui avait donné le ton. Après avoir pris part activement au coup d’Etat qui a renversé Moussa Traoré, il a pris les rênes du pouvoir. Avec pour leitmotiv, organiser des élections démocratiques, crédibles et transparentes ; donner le pouvoir aux hommes politiques (civils) et rentrer dans les casernes. Avec brio et sans tergiversation aucune, il a réussi son processus et est rentré, comme il l’avait promis à la caserne. Alpha Omar Konaré qui a remporté la première élection démocratique libre du Mali, après avoir épuisé ses deux mandats de cinq ans chacun, lui a refilé son pouvoir.
Actuellement, il est en train d’égrener les jours de son second mandat. Au terme duquel, a-t-il encore promis, il retourne chez lui. Il aura le rang de Général qu’il est, mais également le titre d’ancien chef d’Etat chef. Après deux passages différents à la tête de son pays. Quel bonheur et quelle satisfaction ne doit-on pas avoir après un si beau parcours ? Après une si belle et grande contribution à la construction de son pays ?
Au regard des exemples ci-dessus cités, on peut dire au risque de se tromper que les militaires, connus pour les coups de force, sont finalement devenus les premiers garants des processus démocratiques. Parce que les politiciens sous nos tropiques ne savent pas sauvegarder ce pour quoi ils sont politiciens. Et cela est d’autant plus honteux que cela conforte les opinions qui disent et soutiennent même avec force que la politique est le milieu par essence du faux. Où on fait ce qu’on ne dit pas, mais où on ne fait pas ce qu’on dit. Alors que si l’armée doit être considérée comme garante de la démocratie, on n’est pas loin des coups de force à répétition.
Dabaoué Audrianne KANI
L’Express du Faso
lundi 24 janvier 2011
www.ramatoulaye.com
Le Général Nouhou Thiam sous les verrous
En effet, L’ancien chef d’état major général des forces armées guinéenne et proche de Sékouba Konaté, le général Nouhou Thiam a été arrêté dans la nuit du vendredi à samedi à deux heures du matin, selon une source proche de l’armée, confirmée par sa famille. Selon cette même source, les raisons de l’arrestation remontent depuis le décret du professeur Alpha Condé qui remplace le général Nouhou Thiam par un proche de Condé au poste de chef d’Etat majors général des armées et les quatre vérités que le chef d’état major de l’armée de terre, le général Boundouka Condé un autre proche d’Alpha Condé aurait dit à la garde rapprochée de Sékouba Konaté, le général Nouhou Thiam ne cesse d’appeler les anciens collaborateurs de Sékouba à la révolte et à la désobéissance.
Et les mises en garde du nouveau chef d’état major général des forces de défense et de sécurité guinéenne, le général Kélèfa Diallo n’a pas dissuadé Nouhou. D’où les ordres donnés vendredi soir par Kélèfa Diallo pour arrêter Nouhou Thiam. Ce qui fut fait aux environs de 2 heures du matin. Pour l’heure, le lieu de détention de l’ex patron de l’armée Guinéenne et les autres militaires arrêtés restent un mystère.Nous y viendront
samedi 22 janvier 2011

General Martin Shalli retires with honours
Lieutenant- General Martin Shalli, head of the Namibia Defence Force (NDF), who has been on suspension for more than a year, was ‘retired’ this week with full military privileges by the President.
Shalli is succeeded by Major General Epaphras ‘Denga’ Ndaitwah, who was the Chief of Staff Operations of the NDF. State House issued a statement signed by Minister of Presidential Affairs Dr Albert Kawana late on Wednesday in which Shalli’s removal was announced. Kawana said Shalli was no longer an “active” member of the defence force but he would be retiring with full military privileges.
“I suppose when you retire from such a position you do so with all privileges,” Kawana added when asked to clarify. The privileges include retiring with rank, full military regalia that can be donned when attending national events, a diplomatic passport and remaining an NDF reservist. Lieutenant General Shalli was suspended in July 2009 for “serious allegations of irregularities which must be investigated”, a statement issued by Kawana said at the time. Wednesday’s statement in which Shalli’s removal was announced made no mention of the investigation or the reason for ‘retiring’ him. The fact that both State House and the Police, who conducted the investigation, do not want to shed any light on the probe leaves more questions than answers in the minds of the public. People are of the opinion they ought to be informed about the status of the investigation and whether Shalli will be prosecuted our cleared. Asked why Shalli was removed, Kawana referred The Namibian to Nampol, who investigated the “serious allegations of irregularities”, although the probe was initiated at the behest of State House. Kawana said: “We don’t want to interfere in a Police investigation”. The head of Nampol, Lieutenant General Sebastian Ndeitunga, confirmed that the Police had completed the investigation into the Shalli affair and forwarded its report to the Prosecutor General. “We have done all we could and forwarded it to the Office of the Prosecutor General – that’s all I can tell you,” Ndeitunga said. It is understood that the Prosecutor General has not yet decided whether to prosecute Shalli on possible criminal charges or not.
MILITARY HONOURS
The Lieutenant General had an illustrious military career spanning 37 years, dating back before the Independence of Namibia, and has been decorated with three medals, namely Order of Eagle Second Class, the Omugulugwombashe Medal and the Namibia Cross for Bravery.
Shalli became the third head of the NDF since Independence when he was appointed by President Hifikepunye Pohamba as the chief of the Namibian Defence Force in 2006 to succeed Lieutenant General Solomon Hawala, who retired. He was recalled by Pohamba from Zambia, where he served as Namibia’s High Commissioner to that country. Shalli had been appointed by former President Sam Nujoma to the diplomatic service, but was recalled in 2006 after a stint of just 18 months by Pohamba, who succeeded Nujoma, to become the head of the NDF. Before his diplomatic posting to Zambia, Shalli was the head of the Army. The NDF consists of the Army, the Navy and the Air Force.

jeudi 20 janvier 2011


samedi 15 janvier 2011

Swaziland : TOP SOLDIER QUITS ARMY

dimanche 2 janvier 2011

Évaluation de l'appareil de formation au sein de l'ANP : le Chef d'état-major préside deux réunions
Le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, Chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a présidé mercredi et jeudi à Alger, deux réunions consacrées à l'évaluation de l'appareil de formation au sein de l'ANP, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale.
Le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, Chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a présidé mercredi et jeudi à Alger, deux réunions consacrées à l'évaluation de l'appareil de formation au sein de l'ANP, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale.
La première réunion a été dédiée aux travaux de la session annuelle ordinaire du Conseil d'orientation de l'Ecole supérieure de guerre et ce, en présence des commandants de forces et de directeurs centraux du ministère de la Défense nationale, précise la même source. Cette réunion intervient en vertu des dispositions du décret présidentiel n° 05-364 du 26 septembre 2005, portant création de l'Ecole supérieure de guerre, rappelle-t-on.
La deuxième réunion tenue au niveau de l'Ecole nationale préparatoire aux études d'ingéniorat de Rouiba (est d'Alger), s'inscrit dans le prolongement de la dynamique continue et du souci permanent de concrétiser les objectifs d'enseignement et de formation et d'évaluer les étapes franchies dans le processus ambitieux de refonte de l'appareil de formation, prometteur et adapté aux évolutions pédagogiques modernes. Ces étapes doivent répondre aux besoins et à la nature du métier du militaire ainsi qu'à ses spécificités certaines et ses exigences croissantes, à travers l'application du nouveau système LMD, explique le communiqué. Etaient présents à cette réunion, des chefs d'état-major des forces et des commandants et directeurs des Ecoles militaires supérieures de l'Armée nationale populaire. Par ailleurs, la même source souligne que ces deux réunions ont permis d'établir une synthèse globale des réalisations et de donner les orientations nécessaires relatives aux axes d'efforts à privilégier au titre de la prochaine étape.
Le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah insiste sur le rôle "fondamental" de la ressource humaine
Le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), a insisté jeudi à Alger sur le rôle "éminent" et "fondamental" de la ressource humaine, notamment l'élite. Dans une déclaration à la presse, le chef d'état-major de l'ANP a mis en exergue "le rôle éminent et fondamental que notre ressource humaine, notamment son élite, se doit non seulement d'accomplir mais également d'en assimiler les dimensions et les objectifs majeurs, dans le domaine de la poursuite résolue et efficiente de l'effort du développement et de la modernisation de nos Forces armées". Ces Forces armées "n'ont d'autre objectif que d'assumer pleinement leurs missions constitutionnelles, quelles que soient les conditions", a-t-il souligné.
Le chef d'état-major s'exprimait à l'issue d'une réunion tenue avec les cadres de l'appareil de formation militaire, après avoir présidé mercredi les travaux de la session annuelle ordinaire du conseil d'orientation de l'Ecole supérieure de guerre, en exécution des mesures du décret présidentiel portant création de cette école.
La réunion avec les cadres de l'appareil de formation militaire intervient, a-t-il précisé, dans le contexte de l'"ambition continue et du souci permanent de réaliser les objectifs d'instruction et de formation des cycles d'instruction successifs, notamment après l'adoption, mûrement réfléchie et étudiée, ces dernières années, d'un processus ambitieux de refonte de l'appareil de formation, prometteur et adapté aux évolutions pédagogiques modernes, répondant à la nature et aux besoins du métier d'arme ainsi qu'à ses particularités évidentes".
"Ce processus de réforme se base, essentiellement, sur la concrétisation et la réussite du système nouveau et moderne LMD, qui requiert l'application d'un mode de révision générale et complète des programmes de formation, à même d'ancrer les vertus et qualités tant individuelles que collectives, consolidées par le sens de la coopération et de la cohésion de tous", a-t-il ajouté. Le chef d'état-major de l'APN a affirmé que "Ce sont-là des étapes inévitables afin de faire réussir le processus de professionnalisation et de modernisation entamé de façon progressive et étudiée et de veiller à ce qu'il soit en totale cohésion avec les évolutions scientifiques modernes, d'une part, et en harmonie avec nos spécificités nationales, d'autre part".
"Tel est l'essor de qualité, sous les directives, les orientations et le soutien du président de la République, chef suprême des Forces armée, ministre de la Défense nationale, et auquel a consacré le Haut commandement de l'ANP tous les potentiels et mobilisé tous les moyens à même de former et de renforcer les facultés cognitives, scientifiques et technologiques, voire psychologiques et morales, des personnels militaires, toutes catégories confondues", a-t-il relevé.
L'objectif étant, a souligné le chef d'état-major de l'ANP, que ces personnels militaires puissent "maîtriser les commandes de l'excellence professionnelle et, par conséquent, être conscients des réalités et des conséquences de la défense et de la sécurité nationale".
Publié dans :Ahmed Gaïd Salah

Cité par la radio locale Zig’ FM, le chef des armées a indiqué qu’il s’agissait pour lui, de ‘’partager avec eux le repas, faire avec eux la fête, parce que c’est une fête. (…) Nous pouvons avoir le moral en protégeant les populations, en célébrant la Saint-Sylvestre, d’une autre manière’’.
‘’Nous pouvions rester à Dakar, aller festoyer ailleurs. Nous avons préféré rester sur le terrain avec nos hommes pour encore une fois leur dire que nous consolidons avec eux le moral qui est le leur, pour qu’ils continuent toujours à accomplir leur mission au grand bénéfice des populations’’, a-t-il déclaré.
Le général de corps d’armée Abdoulaye Fall a présenté ses vœux de nouvel aux militaires et à leurs familles ‘’restées en base arrière’’. Le CEMGA a aussi souhaité des vœux de paix en Casamance, estimant que la zone ‘’est après tout une région du Sénégal’’.
‘’Les militaires sont là pour les populations, pour qu’elles puissent vaquer librement et normalement à leurs occupations’’, a rappelé le général Fall qui a, en retour, invité les civils à ‘’tout faire pour les aider et leur faciliter cette tâche de sécurisation’’.
A Ziguinchor, le chef d’état-major général des armées a centré son message sur la nouvelle autour de la protection des hommes et du matériel.
Fin décembre, une partie de la région du sud-ouest, le département de Bignona, est secouée de nouveau par la résurgence des affrontements armés entres militaires et rebelles. Au moins sept 7 soldats ont été tués.
Depuis décembre 1982, une rébellion sévit dans le sud du Sénégal sous l’égide du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), qui revendique l’indépendance de cette partie du pays.
OID/SAB

dimanche 26 décembre 2010

BISSAU - L'ancien chef de l'armée bissau-guinéenne renversé le 1er avril, José Zamora Induta, a été libéré mercredi soir en même temps que six autres officiers, deux jours après que la Commission européenne eut exigé la fin des détention illégales et brandi la menace de sanctions.
"Je suis sorti hier (mercredi) soir, sur ordre de l'état-major qui a mis en pratique une requête du président de la République (Malam Bacai Sanha) et du gouvernement (de Carlos Gomes Junior)", a déclaré jeudi l'amiral Induta, joint au téléphone par l'AFP.
Sa libération est intervenue après le lancement, lundi, par la Commission européenne à Bruxelles, d'une procédure pouvant déboucher sur des sanctions à l'encontre de la Guinée-Bissau.
Elle avait exigé "la fin des détentions illégales et de l'impunité" dans ce pays et menacé de suspendre, partiellement ou intégralement, la coopération au développement, à l'exception des aides humanitaires. Des financements européens de 120 millions d'euros étaient envisagés jusqu'en 2013.
Cette menace avait été prise très au sérieux à Bissau, au moment où le gouvernement doit combler un déficit budgétaire de 82 millions d'euros.
Une source proche de l'état-major a néanmoins affirmé à l'AFP que cette libération n'avait "pas été décidée sous la pression" de la communauté internationale mais "à titre purement humanitaire".
"Il (Induta) est placé en résidence surveillée. Il n'est pas libre de ses mouvements", a ajouté cette source militaire.
Le général Indjai, adjoint au chef d'état-major général José Zamora Induta, avait fait arrêter son supérieur, le 1er avril. Le même jour, le chef du gouvernement, Carlos Gomes Junior, avait été séquestré pendant plusieurs heures et menacé de mort par des militaires proches du général Indjai.
Trois mois plus tard, Indjai s'était fait nommer, officiellement, à la tête de l'armée, au grand regret de la communauté internationale.
Ce dernier "putsch" au sein de l'armée intervenait un peu plus d'un an après le double assassinat, en mars 2009, du chef d'état-major général Batista Tagmé Na Wai et du président de la République Joao Bernardo Vieira.
Jeudi, le ministère de la Défense a annoncé qu'"en concertation avec l'état-major et le tribunal militaire", il avait décidé de remettre en liberté le contre-amiral Zamora Induta et le colonel Samba Diallo, détenus depuis le 1er avril, mais aussi cinq autres officiers arrêtés en 2009.
Le général de brigade Manel Melcias Fernandes et quatre autres militaires ont été libérés de la base aérienne de Bissau. L'armée leur imputait la responsabilité de l'attentat à la bombe contre Batista Tagmé Na Waie....
(©AFP / 23 décembre 2010 11h45)
USA-Guinée Bissau : Washington se félicite de la libération « heureuse » de Zamora Induta
José Zamora Induta, ancien chef de l'armée bissau-guinéenne a été libéré ce 22 décembre. Les Etats Unis, par le biais de leur ambassade basée à Dakar, se félicite de cette libération « heureuse ».
(photo: 2space.net) José Zamora Induta, ancien chef de l'armée bissau-guinéenne .
« L'Ambassade des États-Unis d’Amérique est heureuse de constater la décision prise par le gouvernement de la Guinée-Bissau de libérer Zamora Induta, ancien chef des forces armées, et les autres détenus », lit-on dans le communiqué. De même selon Washington, « Ces libérations sont conformes aux déclarations antérieures du gouvernement des États-Unis demandant au gouvernement de la Guinée-Bissau de respecter la constitution et la primauté du droit ».
EL HADJI ALASSANE DIALLO aloulodia@gmail.com
samedi 25 décembre 2010

24 Décembre
Guinée: le général Konaté va se faire soigner de nouveau au Maroc
Le général guinéen Sékouba Konaté, qui a présidé en 2010 le régime de transition ayant conduit à l'élection du civil Alpha Condé, a quitté jeudi soir Conakry pour Rabat, où il doit à nouveau recevoir "des soins médicaux", a indiqué jeudi un membre de son entourage.
"Il part pour ses soins médicaux au Maroc. Il se rendra ensuite à Addis Abeba pour rencontrer Jean Ping", le président de la commission de l'union africaine (UA) qui l'a récemment nommé au poste de commandant de la force africaine en attente, a ajouté la même source.
Sékouba Konaté a été salué à son départ de l'aéroport de Conakry par le tout nouveau président guinéen Alpha Condé, opposant historique élu le 7 novembre après 26 ans de régimes militaires, a constaté l'AFP.
M. Condé était accompagné de l'ancien Premier ministre du gouvernement de transition, Jean-Marie Doré, de plusieurs membres de l'ancien gouvernement et d'un détachement de l'armée.
Les honneurs ont été rendus au général Konaté par la garde républicaine qui a interprété l'hymne national en son honneur. Puis l'ancien dirigeant guinéen a quitté la capitale à bord d'un avion de la compagnie Royal Air Maroc.
L'officier effectue fréquemment des séjours au Maroc pour raisons médicales. Lorsqu'il avait fait ses adieux solennels à l'armée, le 16 décembre, il avait lui-même déclaré: "Je dois repartir pour continuer à suivre mon traitement médical, et recouvrer la santé et l'énergie".

samedi 18 décembre 2010

Nomination de 26 nouveaux généraux au sein de l’armée malgache
Par décret N° 2010-1015 du 15/12/10, le président de la haute autorité de la transition a nommé plusieurs nouveaux officiers généraux et promu certains à des grades supérieurs.
Message du site officiel du ministère des forces armées
Selon la tribune de Madagascar : « Ces généraux ont tous porté leur grade de colonel pendant cinq ans » selon ce qui a été annoncé par le ministre des Forces armées, le général Rakotoarimasy André Lucien, ce vendredi 17 décembre 2010, au camp Ratsimandrava à Ouest Ambohijanahary. En effet, c’est ce vendredi, au camp de la gendarmerie national d’Ouest Ambohijanahary qu’a eu lieu la cérémonie de réception des nouveaux généraux de la gendarmerie, dont le général Richard Ravalomanana.
Le ministre des Forces armées a précisé que la promotion au sein de l’armée reste un pouvoir discrétionnaire du chef de l’État, le président de la Haute autorité de la transition (HAT) actuel qui exerce aussi le rôle de chef suprême des armées.
photo:
général Rakotoarimasy André Lucien