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vendredi 17 janvier 2014

Changement à la tête du haut commandement du Nigeria
















Le président Jonathan Goodluck a dans l'exercice des pouvoirs qui lui sont conférés par la Constitution de la République fédérale du Nigeria décidé des changements importants au sein du haut commandement militaire de son pays



L’Air Marshal Alex (général de corps d’armée) Alex Badeh remplace l'amiral Ola Saad Ibrahim comme chef de l'état-major général (CDS). Le major-général  (général de division) Kenneth Tobie Jacob Minimah prend le relais du lieutenant-général (général de corps d’armée) Azubike O. Ihejirika au poste de chef d'état-major de l'armée de terre.

Le contre-amiral Usman Jibrin succède au vice-amiral Joseph Dele Ezeoba en tant que chef d'état-major de la Marine. L’Air Vice Marshal (général de division) Adesola Nunayon Amosu prend le relais du L’Air Marshal Badeh tant que chef d'état-major de l'Armée de l’air.



Toutes ces nominations  sont avec effet immédiat mais devront être confirmés par le parlement. Les intéressés seront sans doute très rapidement promus au grade supérieur.



Selon la BBC : « cette mesure survient alors que l'inquiétude monte face à l'incapacité des forces armées nigérianes à mettre un terme à l'insurrection des islamistes armés dans le nord du Nigeria »L’armée nigériane fait face à de nombreuses difficultés dans le nord du pays face aux islamistes. Elle a aussi perdu un peu de son rayonnement régional en raison du retrait de son personnel de la mission au Mali (MISMA puis MINUSMA).



Si en France le CEMA est le seul à changer, le président nigérian a renouvelé les trois chefs d’état-major et le  CEMA. Il y a un risque réel de désorganisation au sein des forces armées.L'armée de l'air est moins touchée car son ancien chef d''état major devient CDS.


 

lundi 14 février 2011

Défense nationale: Le Général Adoum Ngaré Hassan à la tête de l’Armée de Terre

Le Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre, le Général de Division Taher Erda a passé l’étendard ce lundi 14 février 2011, à son successeur le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan. Cette cérémonie a eu lieu dans l’enceinte du Camp de 27 en présence du Chef d’Etat Major Général des Armées 1er adjoint Ahmat Youssouf Mahamat Itno.

Le Chef d’Etat Major des Armées de Terre sortant, le Général de Division Taher Erda a rappelé que les quatre mois passés à la tête de l’Etat Major lui ont permis de mieux connaître ce grand service. «Je n’ai rien d’autre à offrir sinon ma disponibilité et mon engagement à œuvrer de toutes les forces qui me restent pour la réalisation des nobles idéaux du gouvernement et surtout pour la réussite du programme politique du Chef de l’Etat », a-t-il ajouté.

Le Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre entrant, le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan a tenu à remercier le Chef de l’Etat Idriss Deby Itno pour la confiance placée en lui en le nommant à la tête de l’Armée de Terre. Aussi, il promet de ne ménager aucun effort pour mériter cette confiance tout en sachant l’immense tache qui l’attend. Pour ce faire, il demande le concours de tout un chacun pour relever tous les défis.

En installant le nouveau CEMAT, le CEMGA 1er adjoint le Général de Division Ahmat Youssouf Mahamat Itno appelle les hommes de rang, les sous officiers et officiers à reconnaître désormais le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan comme leur chef.

Ngartoidé Hugo

vendredi 4 février 2011

Autant le dire… : Les militaires sont-ils plus démocrates ?

Vendredi 4 février 2011

Les militaires faiseurs de démocratie, c’est sans conteste ce qui est à la mode actuellement en Afrique. Le dernier cas en date est celui de l’Egypte où l’armée, contrairement à ce qu’on connaît d’elle, a décidé de reconnaître la lutte des Egyptiens mais se refuse à faire un coup de force. A la limite, elle est aujourd’hui, et sera sans doute demain la garante de la démocratie dans ce pays arabe sur lequel Hosni Moubarak a régné plus de trente ans durant.

Plus proche de nous, au Niger, il a fallu que le Général Salou Djibo et ses hommes mettent fin à la dérive de Tandja Mamadou pour qu’enfin le pays revienne sur le chemin de la démocratie. Il a fallu en plus que ce pouvoir militaire, dont l’avènement a été salué par certains démocrates, soit suffisamment fort et engagé pour mener à bien le processus de démocratisation. Puisqu’il a fallu être ferme pour que l’élection soit engagée. Car à la dernière minute, certains d’entre eux, en tout cas la grande majorité voulaient qu’on remette à plus tard la présidentielle.

Le seul argument qu’ils ont avancé est qu’ils ne sont pas prêts. Alors qu’ils ont été associés depuis le début du début du processus à l’élection présidentielle. Mieux, juste après le coup d’Etat, ils étaient les premiers à réclamer des élections dans les meilleurs délais. D’ailleurs, ils n’avaient pas suffisamment confiance à la parole de la junte. Et pourtant, les militaires étaient très au sérieux. Ils viennent de le démontrer en organisant une élection à laquelle aucun d’eux n’est candidat. Il reste donc aux politiciens qui sont payés pour cela de faire leur travail. Et bien pour le peuple nigérien.

Avant Salou Djibo, c’est un autre Général au bord du Fouta Djallon, Sékouba Konaté qu’il s’appelle qui, après avoir hérité d’un pouvoir dans des conditions très difficiles, a réussi dans les mêmes conditions à doter son pays la Guinée Conakry d’un processus électoral qui est allé jusqu’à son terme. Avec l’élection d’Alpha Condé comme président de la République.

Avant ces deux chefs d’Etat et le cas égyptien, c’est Amadou Toumani Touré au Mali qui avait donné le ton. Après avoir pris part activement au coup d’Etat qui a renversé Moussa Traoré, il a pris les rênes du pouvoir. Avec pour leitmotiv, organiser des élections démocratiques, crédibles et transparentes ; donner le pouvoir aux hommes politiques (civils) et rentrer dans les casernes. Avec brio et sans tergiversation aucune, il a réussi son processus et est rentré, comme il l’avait promis à la caserne. Alpha Omar Konaré qui a remporté la première élection démocratique libre du Mali, après avoir épuisé ses deux mandats de cinq ans chacun, lui a refilé son pouvoir.

Actuellement, il est en train d’égrener les jours de son second mandat. Au terme duquel, a-t-il encore promis, il retourne chez lui. Il aura le rang de Général qu’il est, mais également le titre d’ancien chef d’Etat chef. Après deux passages différents à la tête de son pays. Quel bonheur et quelle satisfaction ne doit-on pas avoir après un si beau parcours ? Après une si belle et grande contribution à la construction de son pays ?

Au regard des exemples ci-dessus cités, on peut dire au risque de se tromper que les militaires, connus pour les coups de force, sont finalement devenus les premiers garants des processus démocratiques. Parce que les politiciens sous nos tropiques ne savent pas sauvegarder ce pour quoi ils sont politiciens. Et cela est d’autant plus honteux que cela conforte les opinions qui disent et soutiennent même avec force que la politique est le milieu par essence du faux. Où on fait ce qu’on ne dit pas, mais où on ne fait pas ce qu’on dit. Alors que si l’armée doit être considérée comme garante de la démocratie, on n’est pas loin des coups de force à répétition.

Dabaoué Audrianne KANI

L’Express du Faso

lundi 24 janvier 2011

www.ramatoulaye.com

Le Général Nouhou Thiam sous les verrous

Alors que le Président de la République, le professeur Alpha Condé a quitté ce dimanche 23 janvier 2011 pour la première fois la Guinée depuis son ‘’élection’’ le 7 novembre dernier pour un périple en Afrique. Une visité qui va le conduire successivement au Burkina Faso, en Libye en Angola, selon un communiqué de la présidence de la République. Au même moment l’étau se ressert sur l’ex-chef d’Etat major général des Armée le Général Nouhou Thiam sous le règne du Capitaine Moussa Dadis Camara, puis du Général d’Armée Sékouba Konaté.

En effet, L’ancien chef d’état major général des forces armées guinéenne et proche de Sékouba Konaté, le général Nouhou Thiam a été arrêté dans la nuit du vendredi à samedi à deux heures du matin, selon une source proche de l’armée, confirmée par sa famille. Selon cette même source, les raisons de l’arrestation remontent depuis le décret du professeur Alpha Condé qui remplace le général Nouhou Thiam par un proche de Condé au poste de chef d’Etat majors général des armées et les quatre vérités que le chef d’état major de l’armée de terre, le général Boundouka Condé un autre proche d’Alpha Condé aurait dit à la garde rapprochée de Sékouba Konaté, le général Nouhou Thiam ne cesse d’appeler les anciens collaborateurs de Sékouba à la révolte et à la désobéissance.

Et les mises en garde du nouveau chef d’état major général des forces de défense et de sécurité guinéenne, le général Kélèfa Diallo n’a pas dissuadé Nouhou. D’où les ordres donnés vendredi soir par Kélèfa Diallo pour arrêter Nouhou Thiam. Ce qui fut fait aux environs de 2 heures du matin. Pour l’heure, le lieu de détention de l’ex patron de l’armée Guinéenne et les autres militaires arrêtés restent un mystère.Nous y viendront

samedi 22 janvier 2011

General Martin Shalli retires with honours

Lieutenant- General Martin Shalli, head of the Namibia Defence Force (NDF), who has been on suspension for more than a year, was ‘retired’ this week with full military privileges by the President.

Shalli is succeeded by Major General Epaphras ‘Denga’ Ndaitwah, who was the Chief of Staff Operations of the NDF. State House issued a statement signed by Minister of Presidential Affairs Dr Albert Kawana late on Wednesday in which Shalli’s removal was announced. Kawana said Shalli was no longer an “active” member of the defence force but he would be retiring with full military privileges.

“I suppose when you retire from such a position you do so with all privileges,” Kawana added when asked to clarify. The privileges include retiring with rank, full military regalia that can be donned when attending national events, a diplomatic passport and remaining an NDF reservist. Lieutenant General Shalli was suspended in July 2009 for “serious allegations of irregularities which must be investigated”, a statement issued by Kawana said at the time. Wednesday’s statement in which Shalli’s removal was announced made no mention of the investigation or the reason for ‘retiring’ him. The fact that both State House and the Police, who conducted the investigation, do not want to shed any light on the probe leaves more questions than answers in the minds of the public. People are of the opinion they ought to be informed about the status of the investigation and whether Shalli will be prosecuted our cleared. Asked why Shalli was removed, Kawana referred The Namibian to Nampol, who investigated the “serious allegations of irregularities”, although the probe was initiated at the behest of State House. Kawana said: “We don’t want to interfere in a Police investigation”. The head of Nampol, Lieutenant General Sebastian Ndeitunga, confirmed that the Police had completed the investigation into the Shalli affair and forwarded its report to the Prosecutor General. “We have done all we could and forwarded it to the Office of the Prosecutor General – that’s all I can tell you,” Ndeitunga said. It is understood that the Prosecutor General has not yet decided whether to prosecute Shalli on possible criminal charges or not.

KICKBACK ALLEGATIONS
According to media reports which were never confirmed by State House or the Police, Shalli was investigated for allegedly receiving kickbacks from a Chinese company. Insight magazine reported at the time that Shalli rented his Windhoek house to a Chinese national, who was allegedly connected to a Chinese company which supplied the Namibian Defence Force with military hardware. But, Shalli, according to the report, was not with the NDF when the military supply deal was signed with Poly Technologies in 2006. The Insight report also alleged that the Chinese national paid US$250 000 in advance for a 10-year lease on the house. Shalli rubbished the kickback allegations, but confirmed that he had rented his property to a Chinese national. When The Namibian spoke to him yesterday, Shalli would not be drawn into commenting on the investigation, only saying that he was “proud to have served the Namibian nation before and after Independence. It was an honour and privilege to have led the Namibia Defence Force”. Shalli also called on those who served under his command to continue “serving the nation with honour and duty”.

MILITARY HONOURS

The Lieutenant General had an illustrious military career spanning 37 years, dating back before the Independence of Namibia, and has been decorated with three medals, namely Order of Eagle Second Class, the Omugulugwombashe Medal and the Namibia Cross for Bravery.

Shalli became the third head of the NDF since Independence when he was appointed by President Hifikepunye Pohamba as the chief of the Namibian Defence Force in 2006 to succeed Lieutenant General Solomon Hawala, who retired. He was recalled by Pohamba from Zambia, where he served as Namibia’s High Commissioner to that country. Shalli had been appointed by former President Sam Nujoma to the diplomatic service, but was recalled in 2006 after a stint of just 18 months by Pohamba, who succeeded Nujoma, to become the head of the NDF. Before his diplomatic posting to Zambia, Shalli was the head of the Army. The NDF consists of the Army, the Navy and the Air Force.

jeudi 20 janvier 2011

Arrestation à Brazzaville du général de la RDC Faustin Munene
Recherché depuis quelques mois par la justice militaire de la RDC, le général Faustin Munene, ex-chef d’Etat-major général de l’armée aérienne congolaise a été appréhendé à Brazzaville, la capitale de la République du Congo voisine, a écrit mardi Radio Okapi. La justice militaire congolaise lui reprocherait plusieurs faits, notamment un refus à se soumettre à une injonction judiciaire, et son rôle présumé dans des crimes survenus à Kikwit, la principale ville de la province du Bandundu et située sur la rivière Kwilu à l’ouest de la RDC, en Novembre 2010. Des inconnus avaient alors attaqué le camp militaire de Kwilu, tuant trois soldats et provoquant un soulèvement populaire à cause de l’insécurité générée. Un mois plus tôt, la famille du général Munene avait annoncé sa disparition à la presse. Des tractations seraient en cours pour son extradition vers la RDC.

photo archive internet

samedi 15 janvier 2011

Swaziland : TOP SOLDIER QUITS ARMY

A high ranking member of the army Umbutfo Swaziland Defense Force has tendered his resignation from the army amidst reports that the Anti Corruption Commission’s (ACC) net was closing in on him on allegations of wrongdoing.
Major General Manyosi Simelane tendered his resignation letter to Army Commander General Sobantu Dlamini, after he was advised by some legal eagles that he should quit the army so that by the time of his arrest, which according to army sources was imminent, he would be no longer a member of the armed forces.
This, the sources said, would allow him to salvage some of his long-term service benefits within the army as he stood to lose everything if he was arrested while still a soldier. The sources said this would also protect the army’s image, while also enabling him to be arrested as a civilian, despite that the corruption allegations against him happened while he was still a soldier.
Although Army officials have thrown a thick shroud of secrecy over the matter, the inside sources revealed that the ACC was also investigating at least three very senior members of the force for corruption related offences. The three other top ranking army officials are known to this newspaper, but their identities cannot be revealed as yet. It has been disclosed that their arrests were also imminent after the ACC had made its case after conducting lengthy investigations against them.
The corruption allegations against Simelane include among others, abusing the name of royalty within the army, army supplies procurement irregularities and allegedly taking bribes for army jobs.
It is not yet clear whether the resignation will be recognised by the army, as soldiers, by the nature of their job, cannot wake up overnight and tender in their resignations without very strong reasons. Minister of Foreign Affairs and International Cooperation Lutfo Dlamini, who also doubles up as the minister of defence could not confirm nor deny the allegations when he was called for comment yesterday.
Instead, he referred queries to the Army Commander Brigadier General Sobantu Dlamini or the principal secretary in the Ministry, John Kunene. Kunene could not be reached as his cellphone was out of the local network, while Army Commander Sobantu flatly refused to entertain reporters when they visited his home in Manzini yesterday.
Armée burkinabè: deux généraux fêtent leurs étoiles
Le Général Dominique Djindjéré, chef d’état major général de des armées et son adjoint, le Colonel Brice Bayala, ont été nommés respectivement Général de division et Général de brigade par décret présidentiel, en décembre de l’année 2010. Pour fêter leurs étoiles, ces cadres de l’armée du Burkina Faso, ont convié leurs parents, proches et collaborateurs, autour d’un pot, le vendredi 14 janvier 2010, au Mess des officiers de Ouagadougou.Conviviale comme les heureux du jour ont dit l’avoir souhaité, cette soirée a connu la présence de nombreuses autorités militaires et civiles dont celle de Yéro Boly, le ministre burkinabè de la Défense. Ce fût l’occasion pour les «étoilés» de rendre grâce à Dieu, de manifester toute leur reconnaissance au Président du Faso, chef suprême des armées, de remercier leurs proches et de féliciter leurs troupes avec qui ils partagent ces nouveaux grades.
En rappel, Robert Guiguemdé et Kwamé Lougué, le secrétaire général de la Défense nationale ont également été nommés, par le même decret, Général de division. Gilbert Diendéré, chef d'Etat-major particulier de la présidence du Faso, Kodjo Lougué, chef d'Etat-major de l'Armée de terre, et Abraham Traoré, chef d'Etat-major de l'Armée de l'air, eux, sont les trois autres colonels-major promus par décret présidentiel au grade de généraux de brigade. Ils devraient étrenner eux aussi leurs étoiles, en principe à partir du mois d’avril prochain.

dimanche 2 janvier 2011

Évaluation de l'appareil de formation au sein de l'ANP : le Chef d'état-major préside deux réunions

Le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, Chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a présidé mercredi et jeudi à Alger, deux réunions consacrées à l'évaluation de l'appareil de formation au sein de l'ANP, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale.

Le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, Chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a présidé mercredi et jeudi à Alger, deux réunions consacrées à l'évaluation de l'appareil de formation au sein de l'ANP, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale.

La première réunion a été dédiée aux travaux de la session annuelle ordinaire du Conseil d'orientation de l'Ecole supérieure de guerre et ce, en présence des commandants de forces et de directeurs centraux du ministère de la Défense nationale, précise la même source. Cette réunion intervient en vertu des dispositions du décret présidentiel n° 05-364 du 26 septembre 2005, portant création de l'Ecole supérieure de guerre, rappelle-t-on.

La deuxième réunion tenue au niveau de l'Ecole nationale préparatoire aux études d'ingéniorat de Rouiba (est d'Alger), s'inscrit dans le prolongement de la dynamique continue et du souci permanent de concrétiser les objectifs d'enseignement et de formation et d'évaluer les étapes franchies dans le processus ambitieux de refonte de l'appareil de formation, prometteur et adapté aux évolutions pédagogiques modernes. Ces étapes doivent répondre aux besoins et à la nature du métier du militaire ainsi qu'à ses spécificités certaines et ses exigences croissantes, à travers l'application du nouveau système LMD, explique le communiqué. Etaient présents à cette réunion, des chefs d'état-major des forces et des commandants et directeurs des Ecoles militaires supérieures de l'Armée nationale populaire. Par ailleurs, la même source souligne que ces deux réunions ont permis d'établir une synthèse globale des réalisations et de donner les orientations nécessaires relatives aux axes d'efforts à privilégier au titre de la prochaine étape.

Le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah insiste sur le rôle "fondamental" de la ressource humaine

Le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), a insisté jeudi à Alger sur le rôle "éminent" et "fondamental" de la ressource humaine, notamment l'élite. Dans une déclaration à la presse, le chef d'état-major de l'ANP a mis en exergue "le rôle éminent et fondamental que notre ressource humaine, notamment son élite, se doit non seulement d'accomplir mais également d'en assimiler les dimensions et les objectifs majeurs, dans le domaine de la poursuite résolue et efficiente de l'effort du développement et de la modernisation de nos Forces armées". Ces Forces armées "n'ont d'autre objectif que d'assumer pleinement leurs missions constitutionnelles, quelles que soient les conditions", a-t-il souligné.

Le chef d'état-major s'exprimait à l'issue d'une réunion tenue avec les cadres de l'appareil de formation militaire, après avoir présidé mercredi les travaux de la session annuelle ordinaire du conseil d'orientation de l'Ecole supérieure de guerre, en exécution des mesures du décret présidentiel portant création de cette école.

La réunion avec les cadres de l'appareil de formation militaire intervient, a-t-il précisé, dans le contexte de l'"ambition continue et du souci permanent de réaliser les objectifs d'instruction et de formation des cycles d'instruction successifs, notamment après l'adoption, mûrement réfléchie et étudiée, ces dernières années, d'un processus ambitieux de refonte de l'appareil de formation, prometteur et adapté aux évolutions pédagogiques modernes, répondant à la nature et aux besoins du métier d'arme ainsi qu'à ses particularités évidentes".

"Ce processus de réforme se base, essentiellement, sur la concrétisation et la réussite du système nouveau et moderne LMD, qui requiert l'application d'un mode de révision générale et complète des programmes de formation, à même d'ancrer les vertus et qualités tant individuelles que collectives, consolidées par le sens de la coopération et de la cohésion de tous", a-t-il ajouté. Le chef d'état-major de l'APN a affirmé que "Ce sont-là des étapes inévitables afin de faire réussir le processus de professionnalisation et de modernisation entamé de façon progressive et étudiée et de veiller à ce qu'il soit en totale cohésion avec les évolutions scientifiques modernes, d'une part, et en harmonie avec nos spécificités nationales, d'autre part".

"Tel est l'essor de qualité, sous les directives, les orientations et le soutien du président de la République, chef suprême des Forces armée, ministre de la Défense nationale, et auquel a consacré le Haut commandement de l'ANP tous les potentiels et mobilisé tous les moyens à même de former et de renforcer les facultés cognitives, scientifiques et technologiques, voire psychologiques et morales, des personnels militaires, toutes catégories confondues", a-t-il relevé.

L'objectif étant, a souligné le chef d'état-major de l'ANP, que ces personnels militaires puissent "maîtriser les commandes de l'excellence professionnelle et, par conséquent, être conscients des réalités et des conséquences de la défense et de la sécurité nationale".

Publié dans :Ahmed Gaïd Salah

Ziguinchor, 1-er jan (APS) - Le chef d’état-major général des armées sénégalaises, le général Abdoulaye Fall, était en Zone militaire N°5 pour célébrer la Saint-Sylvestre sur le terrain avec ses hommes.

Cité par la radio locale Zig’ FM, le chef des armées a indiqué qu’il s’agissait pour lui, de ‘’partager avec eux le repas, faire avec eux la fête, parce que c’est une fête. (…) Nous pouvons avoir le moral en protégeant les populations, en célébrant la Saint-Sylvestre, d’une autre manière’’.

‘’Nous pouvions rester à Dakar, aller festoyer ailleurs. Nous avons préféré rester sur le terrain avec nos hommes pour encore une fois leur dire que nous consolidons avec eux le moral qui est le leur, pour qu’ils continuent toujours à accomplir leur mission au grand bénéfice des populations’’, a-t-il déclaré.

Le général de corps d’armée Abdoulaye Fall a présenté ses vœux de nouvel aux militaires et à leurs familles ‘’restées en base arrière’’. Le CEMGA a aussi souhaité des vœux de paix en Casamance, estimant que la zone ‘’est après tout une région du Sénégal’’.

‘’Les militaires sont là pour les populations, pour qu’elles puissent vaquer librement et normalement à leurs occupations’’, a rappelé le général Fall qui a, en retour, invité les civils à ‘’tout faire pour les aider et leur faciliter cette tâche de sécurisation’’.

A Ziguinchor, le chef d’état-major général des armées a centré son message sur la nouvelle autour de la protection des hommes et du matériel.

Fin décembre, une partie de la région du sud-ouest, le département de Bignona, est secouée de nouveau par la résurgence des affrontements armés entres militaires et rebelles. Au moins sept 7 soldats ont été tués.

Depuis décembre 1982, une rébellion sévit dans le sud du Sénégal sous l’égide du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), qui revendique l’indépendance de cette partie du pays.

OID/SAB

photo archive

dimanche 26 décembre 2010

Bissau: remise en liberté de l'ex-chef de l'armée renversé le 1er avril

BISSAU - L'ancien chef de l'armée bissau-guinéenne renversé le 1er avril, José Zamora Induta, a été libéré mercredi soir en même temps que six autres officiers, deux jours après que la Commission européenne eut exigé la fin des détention illégales et brandi la menace de sanctions.

"Je suis sorti hier (mercredi) soir, sur ordre de l'état-major qui a mis en pratique une requête du président de la République (Malam Bacai Sanha) et du gouvernement (de Carlos Gomes Junior)", a déclaré jeudi l'amiral Induta, joint au téléphone par l'AFP.

Sa libération est intervenue après le lancement, lundi, par la Commission européenne à Bruxelles, d'une procédure pouvant déboucher sur des sanctions à l'encontre de la Guinée-Bissau.

Elle avait exigé "la fin des détentions illégales et de l'impunité" dans ce pays et menacé de suspendre, partiellement ou intégralement, la coopération au développement, à l'exception des aides humanitaires. Des financements européens de 120 millions d'euros étaient envisagés jusqu'en 2013.

Cette menace avait été prise très au sérieux à Bissau, au moment où le gouvernement doit combler un déficit budgétaire de 82 millions d'euros.

Une source proche de l'état-major a néanmoins affirmé à l'AFP que cette libération n'avait "pas été décidée sous la pression" de la communauté internationale mais "à titre purement humanitaire".

"Il (Induta) est placé en résidence surveillée. Il n'est pas libre de ses mouvements", a ajouté cette source militaire.

Le général Indjai, adjoint au chef d'état-major général José Zamora Induta, avait fait arrêter son supérieur, le 1er avril. Le même jour, le chef du gouvernement, Carlos Gomes Junior, avait été séquestré pendant plusieurs heures et menacé de mort par des militaires proches du général Indjai.

Trois mois plus tard, Indjai s'était fait nommer, officiellement, à la tête de l'armée, au grand regret de la communauté internationale.

Ce dernier "putsch" au sein de l'armée intervenait un peu plus d'un an après le double assassinat, en mars 2009, du chef d'état-major général Batista Tagmé Na Wai et du président de la République Joao Bernardo Vieira.

Jeudi, le ministère de la Défense a annoncé qu'"en concertation avec l'état-major et le tribunal militaire", il avait décidé de remettre en liberté le contre-amiral Zamora Induta et le colonel Samba Diallo, détenus depuis le 1er avril, mais aussi cinq autres officiers arrêtés en 2009.

Le général de brigade Manel Melcias Fernandes et quatre autres militaires ont été libérés de la base aérienne de Bissau. L'armée leur imputait la responsabilité de l'attentat à la bombe contre Batista Tagmé Na Waie....

(©AFP / 23 décembre 2010 11h45)

USA-Guinée Bissau : Washington se félicite de la libération « heureuse » de Zamora Induta

José Zamora Induta, ancien chef de l'armée bissau-guinéenne a été libéré ce 22 décembre. Les Etats Unis, par le biais de leur ambassade basée à Dakar, se félicite de cette libération « heureuse ».

(photo: 2space.net) José Zamora Induta, ancien chef de l'armée bissau-guinéenne .

(photo: 2space.net) José Zamora Induta, ancien chef de l'armée bissau-guinéenne .

« L'Ambassade des États-Unis d’Amérique est heureuse de constater la décision prise par le gouvernement de la Guinée-Bissau de libérer Zamora Induta, ancien chef des forces armées, et les autres détenus », lit-on dans le communiqué. De même selon Washington, « Ces libérations sont conformes aux déclarations antérieures du gouvernement des États-Unis demandant au gouvernement de la Guinée-Bissau de respecter la constitution et la primauté du droit ».

M. Zamora avait arrêté le 1 avril dernier avec d’autres officiers. A cette occasion, le premier ministre, Carlos Gomes Junior, avait été aussi mis en résidence surveillée. « Plus qu’à un coup d’Etat, on a assisté à un basculement du pouvoir au sein de l’armée », avait observé RFI. Devant une telle situation qui risquait de plonger à nouveau ce pays dans l’instabilité, les américains avaient demandé « au gouvernement de Guinée-Bissau de mettre un terme à la détention illégale prolongée du vice-amiral Jose Zamora Induta et d’autres officiers et soldats ». « Au vu de la promotion du général Indjai et du maintien en détention de l’amiral Induta, les États-Unis n’apporteront pas leur appui au processus de réforme du secteur de la sécurité », avait martelé Washington.

EL HADJI ALASSANE DIALLO aloulodia@gmail.com

samedi 25 décembre 2010

24 Décembre

Guinée: le général Konaté va se faire soigner de nouveau au Maroc

Le général guinéen Sékouba Konaté, qui a présidé en 2010 le régime de transition ayant conduit à l'élection du civil Alpha Condé, a quitté jeudi soir Conakry pour Rabat, où il doit à nouveau recevoir "des soins médicaux", a indiqué jeudi un membre de son entourage.

"Il part pour ses soins médicaux au Maroc. Il se rendra ensuite à Addis Abeba pour rencontrer Jean Ping", le président de la commission de l'union africaine (UA) qui l'a récemment nommé au poste de commandant de la force africaine en attente, a ajouté la même source.

Sékouba Konaté a été salué à son départ de l'aéroport de Conakry par le tout nouveau président guinéen Alpha Condé, opposant historique élu le 7 novembre après 26 ans de régimes militaires, a constaté l'AFP.

M. Condé était accompagné de l'ancien Premier ministre du gouvernement de transition, Jean-Marie Doré, de plusieurs membres de l'ancien gouvernement et d'un détachement de l'armée.

Les honneurs ont été rendus au général Konaté par la garde républicaine qui a interprété l'hymne national en son honneur. Puis l'ancien dirigeant guinéen a quitté la capitale à bord d'un avion de la compagnie Royal Air Maroc.

L'officier effectue fréquemment des séjours au Maroc pour raisons médicales. Lorsqu'il avait fait ses adieux solennels à l'armée, le 16 décembre, il avait lui-même déclaré: "Je dois repartir pour continuer à suivre mon traitement médical, et recouvrer la santé et l'énergie".

samedi 18 décembre 2010

Nomination de 26 nouveaux généraux au sein de l’armée malgache

Par décret N° 2010-1015 du 15/12/10, le président de la haute autorité de la transition a nommé plusieurs nouveaux officiers généraux et promu certains à des grades supérieurs.

Message du site officiel du ministère des forces armées

Selon la tribune de Madagascar : « Ces généraux ont tous porté leur grade de colonel pendant cinq ans » selon ce qui a été annoncé par le ministre des Forces armées, le général Rakotoarimasy André Lucien, ce vendredi 17 décembre 2010, au camp Ratsimandrava à Ouest Ambohijanahary. En effet, c’est ce vendredi, au camp de la gendarmerie national d’Ouest Ambohijanahary qu’a eu lieu la cérémonie de réception des nouveaux généraux de la gendarmerie, dont le général Richard Ravalomanana.

Le ministre des Forces armées a précisé que la promotion au sein de l’armée reste un pouvoir discrétionnaire du chef de l’État, le président de la Haute autorité de la transition (HAT) actuel qui exerce aussi le rôle de chef suprême des armées.

Madagascar tribune

photo:

général Rakotoarimasy André Lucien