
mercredi 2 février 2011

dimanche 30 janvier 2011

Armée Malienne : Dix-sept nouveaux véhicules pour les troupes
Par Modibo FOFANA - 29/01/2011
Le Ministre de la Défense a remis ce vendredi les clefs des engins au chef d'Etat-Major. Un renfort de taille pour le parc automobile de l'armée.
La cérémonie de remise des clefs par le Ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Natié Pléa au Chef d’Etat-major général de l’armée Gabriel Poudiougou s’est déroulée le vendredi 27 janvier 2010 après midi au département en présence des officiers généraux, les chefs d’Etat-major et directeurs de service. Ce geste constitue la matérialisation d’un engagement pris par le Président de la République, à l’occasion du lancement des travaux de la route Goma Coura-Tombouctou en novembre 2010. Amadou Toumani Touré avait en effet promis d’apporter son soutien aux Forces armées maliennes pour la sécurisation des travaux de construction de cette route et de l’aménagement du périmètre irrigué d’Alatona.
« Les équipements que vous avez devant vous et que j’ai le privilège de remettre aux forces armées en son nom, sont mis à la disposition du département par l’Etat malien sur les directives du Président de la République. Il s’agit de moyens roulants, de matériels de transmission, de matériels de couchage d’un cout total de 500 millions de francs CFA qui viennent renforcer les moyens déployés sur le terrain » a précisé le ministre Natié Pléa. « Cette action du président de la république, chef suprême des Armées s’inscrit en droite ligne de sa vision clairement exprimée dans le projet du développement économique et social en ce qui concerne les forces armées et de sécurité à savoir doter l’armée d’un outil de défense efficient et évolutif s’adaptant constamment à notre situation » a –t-il ajouté.
Ces 17 véhicules de type Land Cruiser tous-terrains, 15 véhicules de transports troupe et 02 ambulances seront d’un grand apport aux troupes récipiendaires. Dotées de ces nouveaux matériels de transports, les troupes de sécurisation des différents chantiers, en coordination avec les échelons tactiques interarmées N° 4 de Tombouctou et N°6 Nampala seront désormais en meilleures conditions d’exécuter leur mission. « C’est dire que ces véhicules viennent, sans nul doute, à point nommé et les forces armées et de sécurité, par ma voix, s’engagent pleinement à les utiliser à bon escient » a conclu le Ministre Pléah avant de remettre officiellement les clés au Chef d'État Major qui, tout en remerciant le Président de la République a assuré que les forces armées maliennes tireront le meilleur bénéfice des véhicules dans le cadre de leur mission de lutte contre l’insécurité sous toutes ses formes.


En prélude au cinquantenaire des Forces Armées Béninoises :Le Gl Boni reprécise les missions de l’armée...
Transmis par alexandre le Jeudi 27 janvier 2011 à 12:34:13
En prélude au 50tenaire des Fab :Le Gl Boni reprécise les missions de l’armée béninoise
Le Chef d’Etat major général des armées Mathieu Boni était face aux hommes des médias hier mercredi 26 janvier 2011. A l’occasion, il a livré le contenu du programme du déroulement de la fête du cinquantenaire des forces armées prévue pour se dérouler les 28 et 29 janvier. Il s’est également penché sur la neutralité de l’armée dans les prochaines échéances électorales.
Dépôt de gerbe à la place du souvenir, défilé militaire sur le boulevard des armées, match de football mettant aux prises les militaires et paramilitaires, conférences-débats et soirée culturelle. Ainsi se présente le programme des manifestations devant marquer le cinquantenaire des Forces armées béninoises qui se tiendra officiellement les 28 et 29 janvier 2011 à Cotonou. Au cours de ses échanges avec les hommes des médias dans l’enceinte du camp Ghézo, le chef d’Etat major général des armées, Mathieu Boni a mis un accent particulier sur la contribution des forces armées dans le développement économique et social du Bénin. Loin d’être la Grande muette vouée uniquement aux missions de sécurité et de défense, les forces armées béninoises constituent un maillon essentiel dans l’émergence du Bénin. Elles s’investissent, selon lui, dans la construction des infrastructures routières, sanitaires et dans l’éducation des jeunes. « En 6 ans, nous avons construit 1000 salles de classes et formé 8000 jeunes par nos centres de formation. Nous avons dépêché 3000 militaires pour appuyer dans les autres pays, les missions de maintien et de sécurité des Nations-unies. L’armée vient aussi en renfort au rôle sécuritaire de la Police et de la Gendarmerie. Nous sommes une armée de paix et de développement » s’est-il réjoui avant de montrer l’intérêt que revêt cette fête pour les Forces armées béninoises. Pour lui, cette célébration du cinquantenaire des Fab a une importance capitale dans la vie du soldat béninois. Car elle permet, a-t-il poursuivi, de restaurer leur identité. « Au-delà de son caractère symbolique, c’est une fête qui permet aux forces de l’ordre de restaurer leur identité et de savoir que la nation leur accorde un jour pour festoyer ». Il a ensuite donné son avis sur la neutralité de l’armée dans la crise sociopolitique et sur la position du Bénin par rapport à la crise ivoirienne.
Neutralité de l’armée et crise ivoirienne
« L’armée béninoise a décidé depuis 1990 de rentrer dans les casernes et de s’occuper de ses missions traditionnelles ». Le Général Mathieu Boni a levé ainsi toute équivoque ou polémique sur la neutralité de l’armée au cours de la prochaine élection présidentielle. Il a rassuré les Béninois sur la neutralité de l’armée dans les affaires politiques. « Nous allons rester neutres. Nous allons jouer notre rôle républicain qu’est la sécurisation permanente du territoire. Cette mission n’est pas politique » a-t-il fait savoir. Il a saisi cette occasion pour appeler les acteurs politiques à se mobiliser pour des élections transparentes et pacifiques, car a-t-il mis en garde ‘’nous avons une seule patrie, le Bénin’’, et ce qui doit nous unir doit être plus fort que ce qui nous divise ». Il s’est enfin prononcé sur la crise ivoirienne et les rumeurs qui courent depuis un certain temps les rues sur l’état de l’avion présidentiel. Le Général de division l a juré que l’avion présidentiel ne souffre d’aucune défaillance mécanique. L’avion présidentielle n’a aucun problème, j’ai voyagé plusieurs fois avec cet avion, a-t-il rassuré. Tout en déplorant l’ampleur de la crise ivoirienne, le premier responsable de l’armée béninoise a précisé que la position du Bénin est celle de la communauté internationale, car le Bénin, a-t-il conclu, fait partie de l’ensemble des pays de l’Organisation des Nations-unies.
Claude Ahovè (Coll)
Journal LE MATINAL 27/01/11
jeudi 27 janvier 2011

AMISOM peacekeepers return | |
Tuesday, 25th January, 2011 By Raymond Baguma |
A total of 4,600 Ugandan peacekeepers have returned home from Somalia to give way for the deployment of a new contingent in the war-torn Horn of Africa country.
The group, under the Uganda Battle Group V (UGABAG V), has been in Mogadishu for nine months under the African Union Peacekeeping Mission in Somalia (AMISOM). They will be replaced with another contingent of 1,700 as part of the routine rotational exercise for the peacekeeping mission.
The Commander of the Land Forces, Lt. Gen Katumba Wamala, yesterday (Tuesday) welcomed back a group of 83 officers and men, who arrived aboard a UN-chartered plane, led by their commander, Lt. Col. Francis Chemo.
Katumba said there were positive developments in Somalia with the hope of restoring peace.
“This is a country that has been at war for a long period of time. It calls for patience and remaining focused to help the Transitional Federal Government. But we are seeing positive developments which are encouraging us to keep on helping them,” Katumba said.
He also revealed that the monthly allowances of peacekeepers in Somalia under AMISOM had been increased from $750 to $1,028, effective January this year
“But we did not go there to earn money. We went there to help our Somalia brothers get back into a better world. Remuneration is secondary,” he said.
“This group faced al-Shabaab Islamic militants between July and September but held their positions well and have made us very proud,” Katumba added. Uganda and Burundi are the two countries contributing peacekeeping troops to Somalia, under the AMISOM. Uganda has 4,600 soldiers serving under AMISOM.
The withdrawal programme, which began last Saturday, is supported by the United Nations Support Office for AMISOM, according to Katumba.
Chemo said he was positive that roundtable talks with the various warring Somali militia groups would restore peace in the war-torn country that has had no stable government since 1992.

Visite du vice-amiral d’escadre, Philippe combes, en Algérie
La coopération militaire et la situation au Sahel passées en revue
Par : Rédaction de Liberte
“Le vice-amiral d’escadre Philippe Combes, adjoint au chef d’état-major des armées françaises pour les relations internationales, s’est rendu à Alger du 25 au 27 janvier 2011, dans le cadre de la troisième session plénière de la commission mixte de coopération en matière de défense”, a indiqué hier un communiqué de l’ambassade de France en Algérie Avec le général-major Mohamed Zenakhri, conseiller du ministre délégué auprès du ministre de la Défense. il a passé en revue les activités de coopération réalisées entre les forces armées des deux pays en 2010, au nombre d’une quarantaine, qui illustrent le bon niveau des relations militaires entre les deux pays, actions complétées par le suivi de formations en France dans des centres ou des écoles militaires et civiles. Les deux co-présidents de la commission mixte ont également validé les projets d’activités pour 2011. Ces activités relèvent pour l’essentiel de visites d’organismes ou d’unités, dans les secteurs de l’armement et de la santé militaire. Les deux marines réalisent, par ailleurs, un exercice annuel en Méditerranée, baptisé Raïs-Hamidou. Cette visite a, par ailleurs, été mise à profit pour évoquer les questions de sécurité intéressant les deux pays, notamment le dossier du Sahel, avec les représentants du ministère de la Défense nationale, mais aussi avec le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel.
lundi 24 janvier 2011


Le sous-secrétaire d’Etat Shapiro réitère la volonté des USA d’appuyer la réforme de l’armée congolaise
Le Sous-secrétaire d’Etat américain adjoint pour les Affaires politico-militaires, Andrew Shapiro est arrivé à Kinshasa le 19 janvier 2011 pour une mission officielle destinée à renforcer la coopération militaire entre les Etats –unis d’Amérique et la République démocratique du Congo.
A Kinshasa, il a eu des contacts avec le conseiller spécial du chef de l’Etat congolais Joseph Kabila afin de s’acquérir de la réforme de l’armée congolaise dans le cadre du commandement américain en Afrique (Africom).
Ainsi, dans un entretien avec la presse le 20 janvier 2011 en la résidence de l’ambassadeur des USA à Kinshasa Gombe, l’homme d’Etat américain a réitéré la volonté de son pays d’aider la RDC à mettre en place la réforme de l’armée et les services de sécurité pour une longue durée, et cela afin doter le Congo démocratique d’une armée professionnelle.
Après l’étape de Kinshasa, Andrew Shapiro a mis le cap sur Kisangani où il est allé voir le bataillon formé par l’Africom et comment celui-ci est utilisé et payé. Cette mission, a-t-il souligné, était nécessaire avant de continuer la formation d’autres bataillons.
En guise de rappel, les Etats-Unis d’Amérique forment, depuis l’année 2009, les militaires congolais dans le cadre de l’Africom. Ils ont, dans ce contexte, formé un bataillon d’Unité d’intervention rapide. Cette action a concerné la formation des formateurs qui vont , par la suite, former d’autres militaires sur l’étendue du territoire congolais.
Ce dynamisme de la coopération démontre de l’importance que le Congo démocratique est en train de prendre dans le contexte de la géo-stratégie au niveau du continent africain.
A une question sur l’indépendance du Sud-Soudan qui pourra exciter d’autres mouvements indépendantistes vers l’autodétermination avec le soutien de l’Amérique, Andrew Shapiro a répondu par la négative.
Il a mis en exergue la particularité du cas Sud-Soudan qui est un long processus résultant des accords de paix de 2005 ayant préconisé un référendum et l’indépendance de ce pays en cas de la victoire de oui.
Kinshasa, 24/01/2011 (Le Potentiel, via mediacongo.net)
www.ramatoulaye.com
Le Général Nouhou Thiam sous les verrous
En effet, L’ancien chef d’état major général des forces armées guinéenne et proche de Sékouba Konaté, le général Nouhou Thiam a été arrêté dans la nuit du vendredi à samedi à deux heures du matin, selon une source proche de l’armée, confirmée par sa famille. Selon cette même source, les raisons de l’arrestation remontent depuis le décret du professeur Alpha Condé qui remplace le général Nouhou Thiam par un proche de Condé au poste de chef d’Etat majors général des armées et les quatre vérités que le chef d’état major de l’armée de terre, le général Boundouka Condé un autre proche d’Alpha Condé aurait dit à la garde rapprochée de Sékouba Konaté, le général Nouhou Thiam ne cesse d’appeler les anciens collaborateurs de Sékouba à la révolte et à la désobéissance.
Et les mises en garde du nouveau chef d’état major général des forces de défense et de sécurité guinéenne, le général Kélèfa Diallo n’a pas dissuadé Nouhou. D’où les ordres donnés vendredi soir par Kélèfa Diallo pour arrêter Nouhou Thiam. Ce qui fut fait aux environs de 2 heures du matin. Pour l’heure, le lieu de détention de l’ex patron de l’armée Guinéenne et les autres militaires arrêtés restent un mystère.Nous y viendront
dimanche 23 janvier 2011


Près de cinq cent policiers ont clôturé hier une formation de plusieurs mois au sein de l’académie de la police nationale, sis à Nagad. Placée sous le patronage conjoint du Président de la République, M. Ismaïl Omar Guelleh, et du Président somalien, Cheikh Sharif Cheikh Ahmed, cette cérémonie de fin de stage traduit l’engagement de la République de Djibouti d’accompagner une fois de plus les efforts de l’Union africaine et de la communauté internationale dans la stabilisation de la Somalie.
L’Ecole de Police Idris Farah Abaneh, sis à Nagad, a abrité hier la clôture d’une formation que des instructeurs de la police nationale ont dispensée à quelque 501 stagiaires de la police somalienne.
La cérémonie de fin de stage était placée sous le patronage conjoint du Président de la République, M Ismaïl Omar Guelleh, et le Président somalien, Cheikh Sharif Cheikh Ahmed.
Elle a regroupé sur les lieux la Première Dame de Djibouti, Mme Kadra Mahamoud Haid, les membres du gouvernement djiboutien dont le Premier ministre Dileita Mohamed Dileita, des ministres somaliens, des élus nationaux et un parterre de personnalités militaires et civiles.
Notons la présence sur place du représentant spécial de l’ONU en Somalie, Augustine Mahiga, et d’un représentant de l’Union africaine. L’EPIFA, une académie de référence Ainsi, la cérémonie de clôture de formation a débuté par le passage en revue des troupes que les deux présidents ont effectué ensemble.
Après ce préliminaire protocolaire, place au défilé des policiers somaliens formés. Financée par le Japon, la formation des principaux concernés s’est déroulée en étroite collaboration avec les Nations Unies et l’Union Africaine.
Dans une allocution prononcée pour la circonstance, le ministre de l’intérieur et de la décentralisation, M. Yacin Elmi Bouh, a indiqué que l’Ecole de Police Idris Farah Abaneh a formé plus de huit mille(8000) officiers de police depuis sa création.
Tant et si bien qu’elle demeure une académie de référence qui produit des professionnels aguerris.
De son côté, le représentant de l’Union Africaine a d’emblée signalé que la mise en place de cette formation traduit l’engagement de la République de Djibouti d’accompagner une fois de plus les efforts de l’Union africaine et de la communauté internationale dans la stabilisation de la Somalie.
L’objectif suppose une réforme du secteur de la sécurité selon le représentant de l’Union Africaine qui a évoqué au micro de la tribune officielle le rôle difficile des policiers somaliens. Lesquels auront à relever des défis immenses dans le contexte particulier de Mogadiscio. Ils se doivent donc d’être en mesure d’agir au quotidien pour faire respecter l’Etat de droit avec discernement et ouverture d’esprit.
C’est du moins la vision personnelle du représentant de l’Union Africaine qui a demandé aux policiers somaliens de mettre à profit le savoir et le savoir-faire acquis au sein de l’académie de police de Nagad.
… Motifs et objectifs de l’assistance japonaise. On retrouve un pareil raisonnement dans le discours que l’ambassadeur du Japon accrédité à Djibouti, M. Jun Shimmi, a fait devant l’assistance regroupée au sein de l’EPIFA.
Le diplomate japonais a saisi l’occasion pour aborder les motifs qui ont poussé les autorités de Tokyo à soutenir cette formation.
D’abord, les violences de la guerre civile que le peuple somalien ne cesse de subir depuis vingt ans. Une triste réalité aussi incontournable explique assez la sollicitude du Japon qui a accepté de financer à hauteur cette formation dans l’optique du retour de la paix et la stabilité en Somalie.
L’initiative s’inscrit dans le cadre du programme d’assistance d’un coût pour un coût de 124,4 millions de dollar américains que le Japon a déjà exécuté en étroite coordination avec la communauté internationale.
Le détail émanait hier de l’ambassadeur Jun Shimmi qui a mis en exergue les axes directeurs de ce programme d’assistance japonais. Citons le renforcement de la sécurité intérieure en Somalie, l’assistance humanitaire et la réhabilitation des infrastructures.
Un triple objectif qui en dit long sur les exigences de la mission dévolue aux policiers somaliens censés accomplir leurs obligations d’auxiliaires de justice dans le respect de la légalité et du maintien de l’ordre public.
Il s’agit pour ces professionnels d’être par ce biais en phase avec les attentes des usagers somaliens en matière de sécurité publique.
Il en va de leur crédibilité et de celle de l’institution policière somalienne qui se doit d’être organisée et structurée.
… L’engagement de Djibouti. Une telle finalité constitue la raison d’être du soutien du gouvernement djiboutien.
Voilà une des leçons majeures tirées de la déclaration que le Président de la République, M. Ismaïl Omar Guelleh, a prononcée du haut de la tribune officielle dans l’enceinte de l’académie de police de Nagad.
De manière réaliste, le chef de l’Etat djiboutien a brossé un tableau préoccupant de la situation prévalant en Somalie qui est une source d’instabilité pour tous ses voisins de la région.
Le Président Ismaïl Omar Guelleh a pointé du doigt l’extrémisme religieux et les attaques incessantes qui ont conduit une grande partie de la population somalienne à fuir la capitale Mogadiscio. Il a qualifié de tragique la situation en Somalie où près de 3,5 millions de réfugiés affrontent la faim et la Mer Rouge qui a causé la mort des milliers de migrants somaliens désireux de rejoindre le Yémen.
Fort de ce constat alarmant, le chef de l’Etat a exhorté les Nations Unies, l’IGAD, l’Union Africaine, la Ligue Arabe , l’Union Européenne et les Etats-Unis de s’accorder autour d’une nouvelle approche pour bâtir ensemble une Somalie sûre et sécurisée.
Poursuivant son discours, le président Guelleh a ajouté la nécessité de rendre l’espoir aux somaliens, de reconstruire l’économie au moyen de projets de réhabilitions des infrastructures pour mieux soustraire la jeune génération au cycle de la violence.
En ce sens, la République de Djibouti s’est engagée de pourvoir l’assistance technique nécessaire dans la construction d’un centre de commande afin que les forces somaliennes de sécurité puissent s’acquitter de leur mission d’une manière effective et efficiente.
Enfin, M. Ismaïl Omar Guelleh, a exhorté les membres du gouvernement somalien de redoubler d’effort pour amener la stabilité et la sécurité à leur peuple qui a longuement souffert.
… La reconnaissance somalienne. De son côté, le président somalien Cheikh Sharif Cheikh Ahmed a signalé que cette démarche s’inscrit dans la droite ligne des nombreuses actions entreprises par la République de Djibouti afin que la Somalie puisse recouvrir la paix et la stabilité.
Cette formation va beaucoup servir les stagiaires car elle vient à point nommé à un moment où le pays compte renouer avec la paix et la sécurité.
Le président somalien a salué le rôle de l’Union africaine pour la reconstitution des forces armées somaliennes et il a appelé les pays arabes de soutenir davantage le gouvernement somalien. Il a rendu un hommage appuyé au gouvernement du Japon qui a financé cette formation.
A l’issue de la cérémonie de clôture de formation, les Présidents Ismaïl Omar Guelleh et Cheikh Sharif Cheikh Ahmed ont tenu une conférence de presse pour éclaircir certains points relatifs au contexte sécuritaire et humanitaire de la Somalie.
samedi 22 janvier 2011

General Martin Shalli retires with honours
Lieutenant- General Martin Shalli, head of the Namibia Defence Force (NDF), who has been on suspension for more than a year, was ‘retired’ this week with full military privileges by the President.
Shalli is succeeded by Major General Epaphras ‘Denga’ Ndaitwah, who was the Chief of Staff Operations of the NDF. State House issued a statement signed by Minister of Presidential Affairs Dr Albert Kawana late on Wednesday in which Shalli’s removal was announced. Kawana said Shalli was no longer an “active” member of the defence force but he would be retiring with full military privileges.
“I suppose when you retire from such a position you do so with all privileges,” Kawana added when asked to clarify. The privileges include retiring with rank, full military regalia that can be donned when attending national events, a diplomatic passport and remaining an NDF reservist. Lieutenant General Shalli was suspended in July 2009 for “serious allegations of irregularities which must be investigated”, a statement issued by Kawana said at the time. Wednesday’s statement in which Shalli’s removal was announced made no mention of the investigation or the reason for ‘retiring’ him. The fact that both State House and the Police, who conducted the investigation, do not want to shed any light on the probe leaves more questions than answers in the minds of the public. People are of the opinion they ought to be informed about the status of the investigation and whether Shalli will be prosecuted our cleared. Asked why Shalli was removed, Kawana referred The Namibian to Nampol, who investigated the “serious allegations of irregularities”, although the probe was initiated at the behest of State House. Kawana said: “We don’t want to interfere in a Police investigation”. The head of Nampol, Lieutenant General Sebastian Ndeitunga, confirmed that the Police had completed the investigation into the Shalli affair and forwarded its report to the Prosecutor General. “We have done all we could and forwarded it to the Office of the Prosecutor General – that’s all I can tell you,” Ndeitunga said. It is understood that the Prosecutor General has not yet decided whether to prosecute Shalli on possible criminal charges or not.
MILITARY HONOURS
The Lieutenant General had an illustrious military career spanning 37 years, dating back before the Independence of Namibia, and has been decorated with three medals, namely Order of Eagle Second Class, the Omugulugwombashe Medal and the Namibia Cross for Bravery.
Shalli became the third head of the NDF since Independence when he was appointed by President Hifikepunye Pohamba as the chief of the Namibian Defence Force in 2006 to succeed Lieutenant General Solomon Hawala, who retired. He was recalled by Pohamba from Zambia, where he served as Namibia’s High Commissioner to that country. Shalli had been appointed by former President Sam Nujoma to the diplomatic service, but was recalled in 2006 after a stint of just 18 months by Pohamba, who succeeded Nujoma, to become the head of the NDF. Before his diplomatic posting to Zambia, Shalli was the head of the Army. The NDF consists of the Army, the Navy and the Air Force.
