mercredi 23 mars 2011





Exercice de sécurité maritime au Cameroun

YAOUNDE, 14 mars (Xinhua) - Un exercice multinational de sécurité maritime en partenariat avec le commandement des forces navales américaines pour l' Afrique (Africom) aura lieu du 17 au 23 mars à Douala, la métropole économique du Cameroun, a appris Xinhua de source camerounaise proche du dossier.

Dénommé "Obangame Express 2011", cet exercice auquel participent d' autres pays membres de la Communauté économique des Etats de l' Afrique centrale (CEEAC) dont fait partie le Cameroun concourt au renforcement du dispositif de sécurité dans le Golfe de Guinée, indique un document du ministère de la Défense dont Xinhua a obtenu copie. "Les forces navales des pays suivants prendront part à l' exercice avec chacune 01 bateau : il s' agit de la Belgique, du Gabon, de l' Espagne, des Etats-Unis, de la France, du Nigeria et Sao Tomé et principe. Le Burundi et le Congo enverront des observateurs", souligne ce document. "
Dans le cadre de la CEEAC, deux navires seront engagés, dont un camerounais. Leur logistique est prise en compte par la coopération américaine", poursuit le texte qui précise par ailleurs qu'"en plus de la marine nationale, les BIRs (bataillons d' intervention rapide, unités d' élite spécialisées dans le lutte contre le grand banditisme dans le Nord et déployés pour la sécurité à Bakassi, ndlr) constituent la seconde composante camerounaise à l' exercice".
Côté camerounais, au total 152 hommes seront mobilisés pour le personnel de soutien local, les équipages et officiers de liaison dans les navires étrangers et 34 comme personnels déplacés ou en mission d' officiers planificateurs. Tandis que les manœuvres s' effectueront dans les eaux territoriales du Cameroun, la base navale de Douala servira de point d' ancrage.

Démarrage à Douala d’un exercice militaire international pour la sécurisation du Golfe de Guinée

APA–Douala (Cameroun) La lutte contre la piraterie maritime visant la sécurisation du Golfe de Guinée est actuellement au centre d’un exercice militaire international à Douala avec la participation des Etats-Unis, du commandement Afrique (AFRICOM) et des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC).

Dénommée ‘’Obangame Express’’, cette opération a, entre autres, pour objectifs ‘’d’aider les gouvernements en Afrique à maintenir la paix et la stabilité dans leurs eaux et leurs frontières de sorte que l’investissement, le commerce et la croissance économique résultent en amélioration des standards de vie pour les Africains’’.

Face à la montée inquiétante de la piraterie maritime, le ministre camerounais de la Défense, Edgard Alain Mebe Ngo’o, a déclaré que ‘’le succès contre la piraterie maritime passe par une coalition et une synergie d’actions’’.

Jusqu’à mercredi prochain, il sera question pour les experts et les participants venus des Etats-Unis, de la France, de la Belgique, de l’Espagne, du Gabon, du Nigeria, de Sao Tomé et Principe et du Cameroun, de mettre sur pied, un cadre normatif basé sur des actions concertées et des interventions communes.

La sécurisation du Golfe de Guinée est un vaste programme qui intègre la lutte contre la piraterie maritime, les kidnappings, les trafics de stupéfiants, les trafics illicites des munitions ainsi que l’immigration clandestine.

L’ambassadeur des Etats-Unis au Cameroun, Robert Jackson, dont le pays est partie prenante dans l’opération, a indiqué que ‘’les Américains vont mettre la technologie à contribution pour identifier aussi bien les pirates de mer que les bandits des côtes et stopper les actes d’agression avant que les assaillants n’atteignent leurs cibles’’.

Il a ajouté que depuis quelque temps, ‘’le gouvernement américain s’emploie à former la Marine camerounaise et le Bataillon d’intervention rapide (BIR) aux techniques d’interception maritime’’. L’ouverture des exercices militaires intervient trois jours après une attaque des pirates dans les eaux territoriales camerounaises.

La riposte des forces de sécurité du Cameroun qui a suivi s'est soldée par la mort de dix-huit assaillants et l'arrestation de deux pirates.

jeudi 17 mars 2011

Cameroun : Paul Biya soigne ses généraux
Paul Biya a procédé à un léger rajeunissement des effectifs de généraux camerounais.
© D.R.
Le président camerounais Paul Biya a nommé le 11 mars dix nouveaux généraux qui prendront leurs fonctions dans quelques semaines. Parallèlement, quatre de leur collègues, des ténors de l'armée, occuperont désormais des postes honorifiques équivalant à une mise à la retraite d’office. En nommant dix nouveaux généraux, le 11 mars, le président Paul Biya a procédé à une importante redistribution des cartes au sein de l’armée camerounaise. La liste des heureux gagnants comporte deux généraux de brigade pour la gendarmerie nationale, trois pour l'armée de terre et un pour l'armée de l'air, ainsi que quatre contre-amiraux pour la marine nationale. Parallèlement, des changements de portefeuilles entre généraux en fonction ont été également enregistrés. Parmi les promus, certains sont connus. Notamment Hyppolite Ebaka ou encore Martin Tumenta, ces deux derniers ayant fait figure de vedettes lors de la célébration du cinquantenaire des armées à Bamenda, en décembre 2010. Mais la surprise de ce « rafraichissement » tient surtout à « l’admission en deuxième section » de quatre militaires parmi les plus gradés et les plus anciens du pays, dont l’emblématique Pierre Semengue, 76 ans, qui a obtenu le grade de général il y a 38 ans. Comme ses frères d'armes James Tataw Tabe (le doyen, 78 ans, dont 56 dans les forces de défense), Jean Nganso Sunji et Yaya Oumaroudjam, il occupera désormais un poste honorifique de mise en réserve… qui équivaut en réalité à une mise en retraite. Petite révolution Considérés comme la mémoire vivante de l’armée camerounaise, les quatre généraux conservent leur porte-fanion ainsi que tous les avantages liés à leurs fonctions, et seront appelés à jouer un rôle de consultants. Une petite révolution dans l’armée : depuis l’indépendance du pays en 1960, aucun général n’a jamais été mis à la retraite. Certains sont morts en fonction, comme Paul Yakana Guebama, décédé le 13 avril 2007 au poste de chef d’état-major de l’armée de l’air. Mais parmi la vingtaine encore en service figurent encore quelques septuagénaires... Le décret présidentiel est donc une première. Et il est diversement apprécié. Pour les proches du pouvoir, la décision du président Paul Biya s’inscrit dans la politique de modernisation des armées, engagée en 2001, et de rajeunissement des effectifs. L’opposition, elle, relève que la moyenne d’âge des dix généraux nouvellement nommés est de 60 ans, le plus jeune ayant 55 ans. La décision du président viserait donc davantage à calmer le mécontentement d’une partie de l’armée, impatiente d’accéder au rang supérieur.

mercredi 16 mars 2011

Nouveau commandant pour l' ONUCI Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a nommé ce mardi, le général de division Gnakoudè Béréna, du Togo, au poste de Commandant de la force de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), selon un communiqué rendu public par l’ONU sur son site internet.
"Le général Béréna succède ainsi au général de division Abdul Hafiz, du Bangladesh, dont les fonctions s’achèvent le 22 mars 2011. Le Secrétaire général exprime sa reconnaissance au général Hafiz pour son service exemplaire et sa contribution au travail de l’ONUCI", souligne le communiqué. "Le général Béréna apportera à ce poste l’expérience d’une brillante carrière militaire. Depuis qu’il a rejoint l’armée togolaise, en 1976, il a eu à commander un régiment motorisé de réaction rapide en 1993, un régiment parachutiste, de 1994 à 1998, et un régiment d’infanterie, de 1998 à 1999. De 1999 à 2009, il fut Chef d’état-major. Depuis 2009, il était Conseiller spécial du Président de la République du Togo", poursuit le texte. "Par ailleurs, de 1993 à 1994, le général de division Béréna a servi en qualité de Commandant de secteur au sein de la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUAR), et, entre 1998 et 1999, en tant que Commandant de la force du Groupe d’observation militaire du groupe de contrôle de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (ECOMOG), en Guinée-Bissau", ajoute le communiqué.Né à Pya-Gnama (Nord du Togo), le général Gnakoudè Béréna est âgé de 58 ans. Savoir News, une équipe jeune et dynamiquewww.savoirnews.com, l’info en continu 24/24H

samedi 12 mars 2011

AFRIQUE : Général Abdoulaye Fall, CEMGA : « Se fonder sur un partenariat multilatéral durable pour lutter contre la criminalité et le terrorisme »

L’exercice multinational "Flintlock 2011" a vécu. La cérémonie de clôture s’est déroulée ce vendredi à Thiès sous la présence du chef d’Etat -Major Général des Armées (CEMGA) du Sénégal, le général de corps d’armée Abdoulaye Fall, du Commandant d’Africom, le Général Haas, de diplomates et des autorités locales.

AFRIQUE : Général Abdoulaye Fall, CEMGA : « Se fonder sur un  partenariat multilatéral durable pour lutter contre la criminalité et le terrorisme »
Les six cent soldats, qui ont pris part pendant 21 jours à l’exercice Flintlock 2011, sont repartis de la ville Thiès ce 11 mars, avec la conviction d’avoir « engrangé des savoirs tactiques très utiles à leurs futurs engagements ». Ainsi, les forces spéciales duSénégal, du Tchad, de la Mauritanie, du Mali, du Burkina Faso, du Nigeria, appuyées par des partenaires stratégiques venus des Etats- Unis, du Canada, de l’Espagne, des Pays Bas, d’Allemagne, et du Royaume Uni, ont partagé « leurs savoirs faire et leurs expériences dans le domaine de la lutte contre la criminalité transfrontalière et les menaces asymétriques ». « Dans le sillage des éditions précédentes, celle de cette année n’a pas dévié de l’objectif prioritaire de renforcer nos capacités communes de lutte contre la criminalité organisée et le terrorisme, en se fondant sur un partenariat multilatéral durable, seul palliatif à une insécurité de plus en plus globale », a admis le général de corps d’armée ,Abdoulaye Fall. Parallèlement à leurs entrainements qui se déroulaient à Thiès, les participants de cet exercice multinational ont mené des actions civilo-militaires au profit des populations de cette localité et de la région de Diourbel, notamment des consultations médicales gratuites. Il faut aussi relever que l’exercice Flintlock de cette année est particulier d’une part du fait que pour la première fois tous les participants se sont réunis dans un même pays pour faire cet exercice multinational. D’autre part, le fait majeur a été sans doute la tenue de symposiums à Dakar. « il me plait également de souligner, le fait innovant et majeur introduite cette année et consistant à coupler les exercices tactiques multinationaux, avec l’organisation de symposiums regroupant de hauts cadres militaires et décideurs civils , en vue de réfléchir sur les voies et moyens à adopter, face à ses nouvelles menaces qui risquent de déstabiliser la région sahélo saharienne, et au-delà, l’Afrique toute entière », a indiqué le Général Abdoulaye Fall, CEMGA du Sénégal. Cette cérémonie de clôture a été surtout marquée le défilé des pays participants, ainsi que des pays partenaires. De même, les pays observateurs tels que la France, représentée par son ambassadeur, l’Italie, le Maroc, la Tunisie, ont pris part à cette cérémonie. Néanmoins, l’exercice Flintlock 2011 a fait une victime. En effet, un accident de la circulation survenu le 3 mars a fait un mort, le sergent Abdoulaye Seck, et deux blessés parmi les militaires sénégalais. L’assistance a observé une minute de silence à la mémoire du disparu, à la demande du CEMGA. L’exercice Flintlock, mis en place depuis 2005, est parrainé par le commandement militaire des Etats –Unis pour l’Afrique (AFRICOM), basé en Allemagne, afin de permettre aux africains de s’approprier des questions liées à la sécurité. EL HADJI ALASSANE DIALLO

mardi 8 mars 2011

Plus de 40 soldats burundais ont perdu la vie ces dernières semaines en Somalie

Plus de 40 soldats burundais participant à la mission de maintien de la paix en Somalie auraient été tués et plus de 100 autres blessés lors d'une récente opération contre les rebelles, a rapporté samedi l'agence AFP citant des sources militaires. Cependant, le gouvernement burundais n'a pas confirmé ces chiffres. Le Burundi et l'Ouganda sont les deux pays africains à participer à la mission de maintien de la paix de l'Union africaine en Somalie (AMISOM).

Depuis décembre 2007, le Burundi a envoyé quatre bataillons en Somalie pour soutenir le gouvernement de transition somalien. Les soldats de l'AMISOM ont fait l'objet de plusieurs attaques du groupe rebelle somalien al Shabaab. Mardi, interrogé par la presse sur les chiffres des soldats burundais morts en Somalie, le chef d'état-major de l'armée burundaise le général Godefroid Niyombare a indiqué : "Pour le respect de la profession et des familles des victimes, il n'est pas nécessaire de rendre public les chiffres sur les victimes."

Source: xinhua

photo internet

jeudi 3 mars 2011

Ziguinchor, 27 fév (APS) - L’armée sénégalaise poursuit ses opérations de ratissage entamée depuis une dizaine de jours dans le nord Sindian (Bignona) et fait état "résultats probants" en dépit de pertes dans ses rangs.

Trois militaires ont été tués et trois autres blessés samedi dans cette offensive, portant ainsi à 19 le nombre de soldats tués depuis le 27 décembre en Casamance, rapportent plusieurs sources à Ziguinchor où il était difficile d’obtenir du Commandement confirmation de ces informations.

Le même jour, la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA) a déclaré dans un communiqué que "l’armée est en train de mener une action offensive dans le nord Sindian depuis une dizaine de jours. Des résultats probants sont obtenus avec des pertes très importantes chez les rebelles qui enregistrent au moins quinze tués et de nombreux blessés".

La DIRPA a signalé que "depuis le début de l’après-midi (du vendredi), ils (les éléments rebelles) sont en train de se replier en débandade vers la frontière (avec la Gambie)".

Toute la journée du vendredi, l’avion de reconnaissance de l’armée et un hélicoptère ont effectué des rotations en vue d’appuyer les troupes au sol.

A propos de la mort des soldats, la DIRPA note que "les armées sont donc dans des opérations de guerre et il convient à ce titre, de s’attendre à ce qu’il y ait de temps en temps des pertes car c’est la logique de toute opération militaire même s’il faut s’atteler à les minimiser".

"En tout état de cause, ajoute la DIRPA, les armées restent déterminées à ne laisser aucune liberté d’action aux bandes armées afin que la sécurisation des personnes et de leurs biens soit pleinement vécue dans la région naturelle de la Casamance".

Le conflit séparatiste en Casamance a connu une tournure depuis le mois de décembre lorsque la rébellion a commencé à utiliser de nouvelles armes dont un rapport militaire vient de certifier qu’elles étaient de fabrication iranienne.

Cette donne a conduit Dakar à rompre ses relations diplomatiques avec Téhéran.

En novembre dernier, une cargaison d’armes en provenance d’Iran avait été arraisonnée au Nigeria. Ces armes, selon des médias, devaient transiter par la Gambie et finir entre les mains des rebelles du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), qui sévit dans le sud du Sénégal depuis 1982.

Le Sénégal a rompu mardi ses relations diplomatiques avec l’Iran en raison "des balles iraniennes (qui) ont pu causer la mort de soldats sénégalais", selon le ministère des Affaires étrangères.

Le texte cite un rapport de l’état-major général des armées sénégalaises transmis au président de la République, Abdoulaye Wade, sur les derniers développements du conflit en Casamance.

Ce rapport "a démontré que les rebelles du Mouvement des forces démocratiques de Casamance disposent d’armes sophistiquées qui ont causé la mort de soldats sénégalais", rapporte cette source.

Jeudi, le Sénégal et la Gambie, ont décidé, à la fin d’une réunion de deux jours de la Commission consultative des deux pays, d’organiser des manœuvres militaires conjointes et des patrouilles mixtes des forces de sécurité le long de leur frontière commune, pour assurer la stabilité des deux pays.

En conférence de presse vendredi, le Collectif des cadres casamançais a appelé l’Union africaine (UA) et l’Organisation des Nations unies (ONU) à ne pas donner suite à l’idée d’un référendum d’autodétermination en Casamance formulée par formulée l’ex-secrétaire général du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) Ansoumana Badji.

OID/BK

mardi 1 mars 2011

Djibouti FAD / US Forces
Vers une coopération militaire renforcée

La récente rencontre entre le général de division Fathi Ahmed Houssein et l’amiral Michaël Mullen s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de coopération militaire et du soutien amical entre les forces armées de la République Djibouti et des Etats-Unis d’Amérique.

Le chef d’état-major général des forces armées djiboutiennes, le général de division Fathi Ahmed Houssein, a reçu jeudi dernier la visite du président du comité des chefs d’état-major des Etats-Unis d’Amérique, l’amiral Michaël Mullen, dans son cabinet.

La rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de coopération militaire et du soutien amical entre les forces armées des deux pays.

Bref, les deux hauts gradés l’ont mise à profit pour discuter du contexte sécuritaire qui prévaut dans la région.

Tentative de coup d'état à KinshasaKinshasa, 01/03/2011 / Politique
Le président de la République a réuni lundi les membres du Conseil supérieur de la Défense pour présenter et expliquer les incidents de la tentative de coup d’Etat échoué de dimanche. D’importantes dispositions d’ordre sécuritaire y ont été prises avec recommandation de vigilance tous azimuts à l’actuelle veille des échéances électorales

Le Conseil supérieur de la défense a adressé lundi ses sincères félicitations aux éléments des Forces armées, de la Police nationale et aux services de sécurité pour s’être montrés efficaces contre les assaillants qui ont lancé dimanche une attaque contre la résidence du Chef de l’Etat et les installations de la Base logistique
centrale des Forces armées de la RDC (FARDC).
Selon un communiqué de presse publié lundi par le ministre de la Défense nationale et des anciens combattants, Charles Mwando Nsimba, à l’issue de la réunion extraordinaire présidée le même jour par le Président Joseph Kabila Kabange, le Conseil a noté avec satisfaction le calme observé par la population qui a continué à vaquer à ses occupations en toute quiétude et l’appelle à la vigilance.
Le conseil a pris un train de mesures afin d’accroître davantage la sécurité, en vue d’assurer le déroulement normal des élections ainsi que le développement du pays.
Ci-dessous, le communiqué de presse intégral du Conseil supérieur de la défense :
Le Président de la République, Chef de l’Etat et Commandant Suprême des Forces Armées de la République Démocratique du Congo et de la Police Nationale Congolaise, et Président du Conseil Supérieur de la Défense, Son Excellence Monsieur Joseph KABILA KABANGE, a présidé à ses bureaux situés en sa résidence de GLM, ce lundi 28 février 2011, une réunion extraordinaire du Conseil Supérieure la Défense, regroupant autour de lui :
- Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Monsieur MUZITO Adolphe ;
- Monsieur LUMANU BWANA N’SEFU Adolphe, Vice-premier Ministre et Ministre de l’Intérieur et Sécurité ;
- Monsieur MWANDO NSIMBA Charles, Ministre de la Défense Nationale et des Anciens Combattants ;
- Monsieur THAMBWE MWAMBA Alexis, Ministre des Affaires Etrangères ;
- Le Lieutenant Général ETUMBA Didier, Chef d’Etat-major Général des Forces Armées de la République Démocratique du Congo ;
- L’Inspecteur Divisionnaire Adjoint BISENGIMANA Charles, Inspecteur Général de la Police Nationale Congolaise, ad intérim ;
- Le Général Major MASSAMBA MUSSUNGU, Chef d’Etat-major de la Force Aérienne ;
- Le Général de Brigade MBALA Célestin, Chef d’Etat-major particulier du Président de la République, ad intérim.
Invités :
- Monsieur BEYA SIKU Gustave, Directeur de Cabinet du Président de la République ;
- Monsieur Pierre LUMBI, Conseiller Spécial en matière de Sécurité du Président de la République ;
- Monsieur DARWEZI, l’Administrateur Général de l’ANR ;
- Monsieur BEYA, Directeur Général de la DGM ;
- Le Général de Brigade KITENGE TUNDWA, Chef d’Etat-major de Renseignements Militaires ;
- L’Inspecteur Divisionnaire Adjoint UNYON VAKPA, Directeur de Renseignement et Services Spéciaux de la Police Nationale Congolaise ;
- Monsieur KIMBUTA YANGO, Gouverneur de la Ville de Kinshasa ;
- Le Général de Brigade BANZE LUBUNDJI, Commandant de la Garde Républicaine.
Un seul point a figuré à l’ordre du jour, à savoir la situation relative à l’attaque de la résidence du Chef de l’Etat, des sièges des autres institutions et des installations de la Base Logistique Centrale des Forces Armées.
Le Conseil rappelle à l’opinion qu’un groupe armé a tenté ce dimanche 27 février 2011, en début d’après-midi, de troubler l’ordre public en attaquant la résidence officielle du Président de la République, les sièges des autres institutions et la Base Logistique Centrale des Forces Armées.
Nos forces de sécurité les ont maîtrisés faisant des morts et des captures parmi eux.
Le Conseil tient à adresser ses sincères félicitations aux éléments des Forces Armées, de la Police Nationale et des services de sécurité qui ont fait montre d’efficacité contre les assaillants.
Le Conseil a noté avec satisfaction le calme observé par notre population qui a continué à vaquer à ses occupations en toute quiétude et l’appelle à la vigilance.
Tout un train de mesures a été pris afin d’accroître encore davantage la sécurité, en vue d’assurer le déroulement normal des élections ainsi que le développement de notre pays.
ACP(DN/Yes)

Retour de vacances

Coopération: 1000 militaires africains, européens et américains sont à Thiès pour un exercice multinational

environ mille soldats, de différentes nationalités, ont pris part ce lundi à Thiès au lancement l’exercice multinational « FLINTLOCK 2011 ». La cérémonie d’ouverture a été présidée par le colonel Saliou Ndiaye, chef d’Etat major de l’armée de terre sénégalaise (CEMAT) et du Général HASS, commandant les forces spéciales à Africom (le commandement militaire des Etats-Unis pour l’Afrique).

Coopération: 1000 militaires africains, européens et américains sont à Thiès pour un exercice multinational
‘’ FLINTLOCK ‘’ est un exercice multinational parrainé par AFRICOM organisé chaque année en vue « de développer l’interopérabilité militaire comme base pour la stabilité et la sécurité d ns la région sahélo-saharienne ». Celui de 2011 revêt une rupture, selon les organisateurs. En ce sens qu’il réunit pour la première fois depuis sa mise sur pied en 2005, de nombreux pays partenaires pour les besoins de l’exercice. Ainsi, des militaires sénégalais, américains, italiens, espagnols, nigérians, tchadiens, burkinabés, mauritaniens, maliens prennent à ces opérations qui se terminent le 11 mars prochain. Le choix du Sénégal pour abriter un exercice d’une telle envergure est à chercher dans le professionnalisme de nos soldats, selon le Commandant d’AFRICOM. « Le professionnalisme militaire et l’expertise sénégalaise ont guidé notre choix. C’est vrai que la tâche est ardue d’organiser et de coordonner un exercice de cette nature mais le Sénégal a les dispositions pour réussir une telle entreprise et il l’a prouvé lors de cette cérémonie d’ouverture », a expliqué le Général HASS. Auparavant, le CEMAT est revenu sur le but et l’importance de cet exercice. « Le but de l’exercice est de pouvoir de mettre en commun des expertises qui viennent de différents pays et à la tête desquels nous avons un partenaire privilégié les Etats Unis d’Amérique. Comme la notion de sécurité est globale au regard des différentes menaces existantes, il faut songer à des stratégies globales », a confié le colonel Ndiaye. « Du fait que le concept de défense et de sécurité est devenu global, les militaires doivent acquérir de nouvelles notions de savoir - faire pour enrayer à un ennemi presque volatile », a ajouté le chef d’état major de l’armée de terre. Par ailleurs, ‘’FLINTLOCK 2011’’ sera aussi marqué par la tenue d’un symposium sur la sécurité transsaharienne regroupant l’Usaid, des ONG et d’organismes gouvernementaux. De même, le social ne sera pas en reste. En effet, il est prévu une journée médicale dans la région de Thiès. EL HADJI ALASSANE DIALLO aloulodia@gmail.com

lundi 14 février 2011

Défense nationale: Le Général Adoum Ngaré Hassan à la tête de l’Armée de Terre

Le Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre, le Général de Division Taher Erda a passé l’étendard ce lundi 14 février 2011, à son successeur le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan. Cette cérémonie a eu lieu dans l’enceinte du Camp de 27 en présence du Chef d’Etat Major Général des Armées 1er adjoint Ahmat Youssouf Mahamat Itno.

Le Chef d’Etat Major des Armées de Terre sortant, le Général de Division Taher Erda a rappelé que les quatre mois passés à la tête de l’Etat Major lui ont permis de mieux connaître ce grand service. «Je n’ai rien d’autre à offrir sinon ma disponibilité et mon engagement à œuvrer de toutes les forces qui me restent pour la réalisation des nobles idéaux du gouvernement et surtout pour la réussite du programme politique du Chef de l’Etat », a-t-il ajouté.

Le Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre entrant, le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan a tenu à remercier le Chef de l’Etat Idriss Deby Itno pour la confiance placée en lui en le nommant à la tête de l’Armée de Terre. Aussi, il promet de ne ménager aucun effort pour mériter cette confiance tout en sachant l’immense tache qui l’attend. Pour ce faire, il demande le concours de tout un chacun pour relever tous les défis.

En installant le nouveau CEMAT, le CEMGA 1er adjoint le Général de Division Ahmat Youssouf Mahamat Itno appelle les hommes de rang, les sous officiers et officiers à reconnaître désormais le Général de Brigade Adoum Ngaré Hassan comme leur chef.

Ngartoidé Hugo

Déplacement professionnel et vacances jusqu'au 27 février 2011.
Bonnes Vacances

samedi 12 février 2011



South Sudan minister describes killings in Fangak as a "massacre”

By Ngor Arol Garang
February 11,2011 (KHARTOUM) - James Kok Ruea, a minister of humanitarian affairs and disaster management at the Government of Southern Sudan (GoSS) on Friday described the deaths caused by clashes between rebels and the South Sudan army in Fangak county of Jonglei state as "a massacre."
The minister made the comments in an interview with Sudan Tribune two days after armed groups identified as loyal to General George Athor Deng and forces belonging to the Sudan People Liberation Army (SPLA), the southern army, clashed on Wednesday and Thursday.
Around 105 people are thought to have died in the clashes.
Both Athor and the SPLA denied launching the attack. Neither has accepted responsibility for initiating the fighting and have blamed each other for the clashes. Athor’s spokesman in an interview with Sudan Tribune on both Wednesday and Thursday accused the SPLA of initiating attack against their forces in three different locations in the area and said they were acting in self defend.
The SPLA denied the charge and accused Athor’s forces of launching the first attack and laying several landmines. He said that SPLA forces had activated the mines resulting in the destruction of vehicles and causing casualties.
Speaking to Sudan Tribune from the area on Friday, James Kok Ruea, minister of Humanitarian Affairs and disaster management in the government of South Sudan described the killing as "a massacre."
"I am now talking to you from my area, our people have been massacred by George Athor because they are supporters of the Sudan People’s Liberation Movement (SPLM) and the leadership of the government of South Sudan. They have been uprooted from their homes and many of them mostly innocent civilians, especially women and children have lost their lives", said minister Kok in an interview with Sudan Tribune on Friday.
The minister said Athor had captured Fangak on 9 February but the SPLA took it back on 10 February, after what he described as fierce fighting resulting in the loss of many lives. He declined to give figures saying the dead were still being buried but said that “many lives some of whom were innocent civilians mostly children and women in the cross fire".
Phillip Aguer, spokesman of the Sudan People’s Liberation Army, in a separate interview confirmed 105 people were killed. Reports from the area indicate that 105 people from both sides have killed: 39 civilians, 24 police and 42 from Athor’s men.
Kok, who hails from the area, said Fangak was home to roughly 200,000 people who have now been displaced to neighboring communities.
(ST)

jeudi 10 février 2011

UK ‘wary of army in terror war’

The latest leaked American diplomatic cable on Kenya reveals that Britain prefers to work with the Administration Police rather than the military in the fight against terrorism.
The cable dated December 2, 2009, says that the UK counter-terrorism department did not trust the effectiveness of elite units within the Kenyan military.
The cable released by WikiLeaks on Thursday adds that the UK was instead keen on equipping the APs with a modern radio communications network to enable the officers undertake the task of patrolling the porous Kenya-Somalia border.
“UK CT (counter-terrorism unit) efforts in Kenya are focused on two key areas: Establishment of a radio communications network for the Administrative Police in the North East and Coast provinces for border security,” says the cable classified as confidential and prepared by US ambassador Michael Ranneberger in part.
The cable also says that getting “multi-agency buy-in” within the Kenyan government is difficult and that the intelligence service has primary responsibility for counter-terrorism but the police provide critical support, including border control.
The second key focus for the UK’s counter terror unit is the development of a special force within the Kenyan armed forces for intercepting terrorist infiltration along the border and transit routes.
“The Kenyan Ministry of Defence sees this unit as being a fully capable SF (Special Forces) unit. However, the UK assessment is that the unit still falls short of full SF capabilities. There is concern that the unit might be diverted from CT to perform other duties. The unit also has yet to be tested under operational conditions,” the cable says.
Kenyan military forces have been undertaking border patrols along the 682-km border, which was closed in December 2006, fearing an escalation of violence and attacks by fighters loyal to Osama bin Laden’s al-Qaeda terror network.
The cable is derived from discussions held in October 2009 between the US State Department coordinator for the East Africa Regional Strategic Initiative and UK officers from several North and East Africa missions as well as London-based Foreign and Commonwealth Office specialists in Addis Ababa.
By NATION CORRESPONDENT
Posted Sunday, February 6 2011 at 22:10

Burundi: L'Armée dément toute présence militaire en RD Congo

Bujumbura, Burundi - L'Armée burundaise a démenti toute présence militaire en République démocratique du Congo voisine où des rumeurs de présence d'une rébellion en gestation contre le pouvoir en place au Burundi ont circulé avec insistance ces derniers temps à Bujumbura

Selon le porte-parole de la Force de défense nationale et des anciens combattants, le colonel Gaspard Baratuza, une telle opération militaire en terre étrangère nécessiterait obligatoirement l'aval du parlement burundais comme le stipule la loi fondamentale actuellement en vigueur dans le pays.

'Cela n'est pas encore le cas', a-t-il indiqué, reconnaissant que les autorités militaires des deux pays se réunissent régulièrement dans le cadre du renforcement des relations de bon voisinage et de la sécurité sur la frontière commune.

Certaines organisations internationales non gouvernementales oeuvrant au Burundi prêtent à l'ancien chef rebelle des forces nationales de libération(FNL), Agathon Rwasa, l'intention de reprendre le maquis.

Les FNL font partie d'une coalition de plusieurs formations politiques de l'opposition qui contestent aujourd'hui encore la régularité des récentes élections générales au Burundi. Pana 09/02/2011

dimanche 6 février 2011

Friday, 21 January 2011.

President John Evans Atta Mills has reiterated the need to equip the Ghana Navy to enable it perform the duties it has been constitutionally mandated to carry out. The President said government was aware of the difficulties the Ghana Navy goes through in putting ships to sea and that in spite of these challenges, the Service manages to remain on top of its job and continues to ensure the safety of the maritime integrity of Ghana. The Minister for Defence, Lt Gen Joseph Henry Smith (rtd), stated when he commissioned a recently acquired ship, Ghana Navy Ship (GNS) Stephen Out, on behalf of the President at the Sekondi Naval Base Friday 21 January 2011.

The ship is a Fast Attack Craft (FAC) donated to Ghana by the government of the Republic of Korea. The ship was built by the Korea Tacoma Marine Industries Limited in 1982, for the South Korean Navy. She was commissioned in 1982 into service as Patrol Killer Missile (PKM) 237 and operated by the South Korean Navy for 26 years. She was decommissioned in 2008 after which she was donated to the Ghana Navy in 2010. She arrived at the Tema Harbour on 9 December 2010.

President Mills confirmed that the ship had come at the right time to help in the maintenance of Ghana’s maritime security, adding that it was the first element in a much more ambitions programme of security. He said the commercial drilling of oil from the Jubilee Oil Field was an important event which had added Ghana’s to the list of oil producing countries in the World and said the first crude oil lift from the FPSO Kwame Nkrumah on 4 January 2011 put to rest any doubts that Ghana could become an oil producing country.

He stated that there was therefore an urgent need for this God-given resource to be jealously safe guarded at all times. He noted that Ghana was already grappling with illegal fishing activities, smuggling and trafficking of narcotics which cost the country several millions of dollars a year. He therefore cautioned miscreants in society who were bent on derailing efforts of the Government to make Ghana an icon of stability, peace and tranquility in the sub-region to desist from their nefarious activities before the law caught up with them.

The Ambassador of the Republic of Korea in Ghana, HE Mr Lee Sang Hak, stressed the need to protect Ghana’s territorial waters, especially the Jubilee Oil Field. He hoped the donation of the ship will deepen bilateral relations between South Korean and Ghana.

Earlier in his opening remarks, the Chief of the Naval Staff (CNS), Rear Admiral Mathew Quashie, thanked the Korean Government and said the Ghana Navy was highly delighted that another ship was being added to the inventory of the Ghana Navy Fleet. He recalled that the last time Ghana Navy witnessed such occasion was 10 years ago when GNS ANZONE, GNS BONSU and GNS DAVID HANSEN were commissioned into the Fleet in 2001. The ship is named after the late Major General Stephen Joseph Asamoah Otu, the first Ghanaian Chief of the Defence Staff, in recognition of his sterling and exemplary leadership qualities, and for his pioneering role in shaping the professional Ghana Armed Forces whose reputation is well acclaimed internationally.

After the commissioning, dignitaries and other invited guests took a sea trip onboard the new ship.

Present at the ceremony were the Chief of the Defence Staff (CDS), Lieutenant General PA Blay, the Deputy Western Regional Minister, Mrs Betty Bosomtwi Sam, some Members of Parliament, Service Chiefs, Formation Commanders, traditional rulers and representatives of the family of the Late General Stephen Otu made up of Madam Comfort Afua Otu (Sister), Mr Kofi Otu (Son), and Major Adu Otu (Rtd), nephew.

The first commanding officer of GNS STEPHEN OTU is Lieutenant (Ghana Navy) Theophilus Kafui Agbemabiese. He attended the Kotoka Basic school in Burma Camp, Adisadel College in Cape Coast and the Regional Maritime University near Tema before joining the Navy. He was commissioned into the Navy in August 2001..Among the appointments he has held are executive officer as well as acting commanding officer, both of GNS ANZONE.

Air Force inaugurates Golden Jubilee House
A US$700,000 two-storey accommodation block, constructed to commemorate the 50th anniversary of the establishment of the Ghana Air force, has been inaugurated by the Minister for Defence, Joseph Henry Smith.
The 52 single-room self-contained bedroom building christened “Air Force Golden Jubilee House”, which is meant to accommodate junior ranks of the Ghana Air Force, was constructed with internally generated funds with support from corporate bodies and individuals. Cutting the tape to inaugurate the facility at the Air Force Base in Accra, yesterday, Mr. Smith noted that the building will go a long way to alleviate the accommodation problem of the Ghana Air Force, saying ‘’in this 21st century, there is the need to improve infrastructure at the country’s military set up’’. He asked the authorities at the barracks to keep a good maintenance culture of the building to ensure a longer lifespan and cautioned the intended occupants to avoid “overloading the electrical system” and attend to all leakages from the water system in a timely manner. “To you occupants of this magnificent edifice, I entreat you to take care of the structure. I challenge you to maintain the high standard of this building by keeping your surroundings clean at all times whilst taking good care of the fittings”, he advised, and warned that “under no circumstance should anybody pound “fufu” on the upstairs of the building.” Outlining other measures to address the general accommodation problem facing the Ghana Armed Forces, the Minister said the STX housing project will ease the accommodation problem facing the Armed Forces. He said that upon assumption of office, the Military High Command presented an elaborate strategic plan to the government outlining the tools needed by the military to execute their duties, saying ever since the plan was presented, the government had been putting structures in place to address the changes facing the military. Against this background, the Defence Minister said government had ordered a strategic lift aircraft for the Ghana Air Force for surveillance, explaining the equipment will arrive in the country in the middle of next year. He also said the government had ordered four vessels, two each from China and Germany for the navy which will arrive in the country by the end of this year to patrol the country’s territorial waters to stem piracy.
The Chief of Air Staff, Air Vice Marshall (AVM) Michael Samson-Oje, who handed over the keys of the building to the Base Commander, said the block will be allocated to about 104 junior ranks of the Air Force because they face acute accommodation problem. Air Vice Marshall Samson-Oje expressed gratitude to the corporate bodies, mostly oil companies, and individuals who helped to finance the project.
Corporal Nyamekye Alexander, Joseph Sai, a staff of the Engineering Services Directorate of the Ghana Armed Forces and Evans Addo Mensah, aNational Service Person, were awarded for their meritorious service on the project. Each of them received a double door fridge and an undisclosed amount.

Source: Ghanaian Times

samedi 5 février 2011






31 janvier 2011
Garde Républicaine Une force au service de la patrie
Le Premier ministre Dileita Mohamed Dileita a présidé hier, au camp Omar Aline, la cérémonie marquant le 9ème anniversaire de la création de la Garde républicaine en présence de plusieurs membres du gouvernement et du parlement, ainsi que de nombreuses autres personnalités dont le chef de la sécurité nationale, M. Hassan Said Khaireh.
Créée le 30 janvier 2002 par décret présidentiel, la Garde Républicaine a célébré hier son neuvième anniversaire au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée au camp Omar Aline en présence du Premier ministre, M Dileita Mohamed Dileita.
Plusieurs membres du gouvernement et du parlement, ainsi que de nombreuses autres personnalités du pays, dont le chef de la sécurité nationale, M. Hassan Saïd Khaireh, ont également assisté à cette cérémonie commémorative. Aussi, des hauts gradés militaires djiboutiens issus des différents corps constitués et des forces étrangères installées à Djibouti ont honoré de leur présence cet événement.
Accueilli à son arrivée sur les lieux par le chef d'état-major de la Garde républicaine, le Colonel Mohamed Djama Doualeh, le Premier ministre Dileita Mohamed Dileita a passé en revue les différentes composantes de la GR.
Dans un discours qu’il a prononcé à cette occasion, le colonel Mohamed Djama Doualeh, a rappelé l’importance que revêt cette cérémonie qui représente "un moment de retrouvailles et de réflexion pour faire le bilan des activités de l’année écoulée’’. "
C’est dans cet esprit, a-t-il ajouté, que le commandement n’a cessé d’orienter l’essentiel de ses efforts d’investissement dans le domaine de la formation et de l’instruction de ses personnels et à la préparation des troupes en vue de consolider les capacités opérationnelles et remplir, au mieux, les missions qui nous sont dévolues’’.
Le colonel Mohamed Djama Doualeh, a rappelé que pour s’acquitter plus efficacement ses missions, l’institution a misé sur un renforcement de ses ressources humaines.
"Le recrutement du contingent des jeunes recrus qui vient d’être opéré permettra un renforcement considérable des effectifs de notre institution" a-t-il souligné. Selon lui, au cours de ce recrutement, le commandement de l’institution a pris en compte la promotion du genre en favorisant l’intégration de plus en plus de personnel féminin.
Et ce conformément à la politique du gouvernement. De son côté, le premier ministre, M. Dileita Mohamed Dileita, a rendu un vibrant hommage aux officiers, sous-officiers et hommes de rang de la GR pour les nombreuses et diverses actions de solidarité en faveur des populations civiles du pays.
" Nous savons aussi, a-t-il dit, que la garde républicaine participe également à des actions pour le bien de notre population civile dans tout les pays".
"L’image de la garde républicaine doit toujours rester l’image de la rigueur professionnelle, mais aussi l’image du respect de nos valeurs, qui trouvent toute leur expression dans la considération que nous avons envers nos concitoyens ’’, a-t-il enfin précisé. Créée le 30 janvier 2002 par décret présidentiel, cette institution est l’héritière légitime de l’ancien escadron présidentiel.
Placée administrativement sous la tutelle de la présidence mais relevant du ministère de la défense, la GR a pour mission principale d’assurer la sécurité du président de la république.
Parallèlement à leurs prérogatives en matière de sécurité du chef de l’Etat, de sa famille et de ses hôtes, les éléments de la Garde républicaine remplissent également d’autres missions qui s’apparentent beaucoup plus à des actions à caractère social et humanitaire.

vendredi 4 février 2011

Autant le dire… : Les militaires sont-ils plus démocrates ?

Vendredi 4 février 2011

Les militaires faiseurs de démocratie, c’est sans conteste ce qui est à la mode actuellement en Afrique. Le dernier cas en date est celui de l’Egypte où l’armée, contrairement à ce qu’on connaît d’elle, a décidé de reconnaître la lutte des Egyptiens mais se refuse à faire un coup de force. A la limite, elle est aujourd’hui, et sera sans doute demain la garante de la démocratie dans ce pays arabe sur lequel Hosni Moubarak a régné plus de trente ans durant.

Plus proche de nous, au Niger, il a fallu que le Général Salou Djibo et ses hommes mettent fin à la dérive de Tandja Mamadou pour qu’enfin le pays revienne sur le chemin de la démocratie. Il a fallu en plus que ce pouvoir militaire, dont l’avènement a été salué par certains démocrates, soit suffisamment fort et engagé pour mener à bien le processus de démocratisation. Puisqu’il a fallu être ferme pour que l’élection soit engagée. Car à la dernière minute, certains d’entre eux, en tout cas la grande majorité voulaient qu’on remette à plus tard la présidentielle.

Le seul argument qu’ils ont avancé est qu’ils ne sont pas prêts. Alors qu’ils ont été associés depuis le début du début du processus à l’élection présidentielle. Mieux, juste après le coup d’Etat, ils étaient les premiers à réclamer des élections dans les meilleurs délais. D’ailleurs, ils n’avaient pas suffisamment confiance à la parole de la junte. Et pourtant, les militaires étaient très au sérieux. Ils viennent de le démontrer en organisant une élection à laquelle aucun d’eux n’est candidat. Il reste donc aux politiciens qui sont payés pour cela de faire leur travail. Et bien pour le peuple nigérien.

Avant Salou Djibo, c’est un autre Général au bord du Fouta Djallon, Sékouba Konaté qu’il s’appelle qui, après avoir hérité d’un pouvoir dans des conditions très difficiles, a réussi dans les mêmes conditions à doter son pays la Guinée Conakry d’un processus électoral qui est allé jusqu’à son terme. Avec l’élection d’Alpha Condé comme président de la République.

Avant ces deux chefs d’Etat et le cas égyptien, c’est Amadou Toumani Touré au Mali qui avait donné le ton. Après avoir pris part activement au coup d’Etat qui a renversé Moussa Traoré, il a pris les rênes du pouvoir. Avec pour leitmotiv, organiser des élections démocratiques, crédibles et transparentes ; donner le pouvoir aux hommes politiques (civils) et rentrer dans les casernes. Avec brio et sans tergiversation aucune, il a réussi son processus et est rentré, comme il l’avait promis à la caserne. Alpha Omar Konaré qui a remporté la première élection démocratique libre du Mali, après avoir épuisé ses deux mandats de cinq ans chacun, lui a refilé son pouvoir.

Actuellement, il est en train d’égrener les jours de son second mandat. Au terme duquel, a-t-il encore promis, il retourne chez lui. Il aura le rang de Général qu’il est, mais également le titre d’ancien chef d’Etat chef. Après deux passages différents à la tête de son pays. Quel bonheur et quelle satisfaction ne doit-on pas avoir après un si beau parcours ? Après une si belle et grande contribution à la construction de son pays ?

Au regard des exemples ci-dessus cités, on peut dire au risque de se tromper que les militaires, connus pour les coups de force, sont finalement devenus les premiers garants des processus démocratiques. Parce que les politiciens sous nos tropiques ne savent pas sauvegarder ce pour quoi ils sont politiciens. Et cela est d’autant plus honteux que cela conforte les opinions qui disent et soutiennent même avec force que la politique est le milieu par essence du faux. Où on fait ce qu’on ne dit pas, mais où on ne fait pas ce qu’on dit. Alors que si l’armée doit être considérée comme garante de la démocratie, on n’est pas loin des coups de force à répétition.

Dabaoué Audrianne KANI

L’Express du Faso

mercredi 2 février 2011

Nigerian soldiers open fire in clash with students(AFP)
– 4 days agoJOS, Nigeria —
Nigerian soldiers opened fire on students in central Nigeria Saturday in a fresh round of violence that also saw churches and mosques set ablaze, officials and witnesses said.A hospital official said 24 people were admitted with bullet wounds and one person had died, but the commander of a military task force in the region said only four students were shot and injured when soldiers fired in self-defence.There were also unconfirmed reports of killings related to clashes between Christian and Muslim ethnic groups.The clashes happened in the central Nigerian city of Jos, the scene of repeated attacks including the Christmas Eve bomb attacks that killed dozens.Other incidents were reported around the city, including youths in the neighbourhood of Gada Biu stopping cars at illegal roadblocks.Clashes first broke out late Friday after motorcycle-riding Muslim villagers stabbed three University of Jos students, according to student leader Victor Dazi.
A large number of students later mobilised and tried to march in protest towards a Muslim area before soldiers intervened, leading to a confrontation."The situation became worse. The students tried to overrun our men, and that was when shots were fired in self-defence and hit four of them," said Brigadier General Hassan Umaru, the commander of the task force.Others were wounded while being dispersed, he said, without providing details.George Chima, chief medical director of Bingham University Teaching Hospital, told AFP: "Twenty four people were brought in with gunshot wounds but one died."One of the wounded students, Douglas Daniel, said from his hospital bed that he had been shot in the arm by soldiers.Women from the area joined in later protests and soldiers were shooting in the air to stop rioting, said witnesses.Two fuel stations, a vegetable market, churches, mosques and houses were set alight, Umaru and witnesses said. A thick pall of smoke covered the area."People took advantage of the situation ... to burn houses and vehicles. They just burnt houses of the opposite faith -- churches and mosques included," Umaru said.Jos is the capital of Plateau state, part of the so-called middle belt between the mainly Muslim north and predominately Christian south.The region has been hit by waves of violence in recent years that have killed scores of people, and there has been a sharp increase in clashes ahead of April elections.
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